« Jean-Pierre Morat » : différence entre les versions
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[[Image:Jean Pierre Morat.jpg|thumb|200px|right|Jean-Pierre Morat peint par Raynaud]]▼
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}}
▲[[
'''Jean-Pierre Morat''',
{{section à sourcer|date=avril 2015}}
Jean-Pierre
Interne des hôpitaux entre 1868 et 1872, il
Contribution à l'étude de la moelle des os ''[http://web2.bium.univ-paris5.fr/livanc/index.las?cote=TPAR1873x370&do=pages thèse de médecine de Paris {{n°|370}}, 1873.]''
Il se lia rapidement à [[Claude Bernard]], (ils étaient tous les deux bourguignons) dont il devint l’un des élèves, et resta dans son laboratoire à Paris pendant trois ans, avant d’être chargé de l’enseignement de la physiologie à la nouvelle Faculté de Médecine de [[Lille]]. J-P. Morat fut l’un des disciples de la première génération (Claude Bernard avait alors 58 ans) : il évoquait fréquemment les années passées à son contact et, disait-il, son seul désir était de transmettre les idées et les principes directeurs du grand homme.▼
▲Il se
Il fut nommé, en 1882, professeur de physiologie à la Faculté de Médecine de Lyon, poste qu’il occupa jusqu’à sa retraite en 1916 ; il consacra sa vie à enseigner sa spécialité et il ne quitta pour ainsi dire jamais son laboratoire. Il préparait ses cours avec beaucoup d’attention mais, à l’amphithéâtre, son élocution devenait difficile et il y avait un contraste saisissant entre la parole, d’un maniement pénible et la clarté de son esprit : ses cours étaient souvent désertés tant ses sujets étaient parfois hermétiques et il en fut souvent affecté.▼
Il est nommé, en 1882, professeur de physiologie à la faculté de médecine de Lyon, poste qu’il occupa jusqu’à sa retraite en 1916.
Il consacre sa vie à enseigner sa spécialité et il ne quitte pour ainsi dire jamais son laboratoire.
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Admis à la Société de biologie en 1883, il est élu, en 1904, correspondant de l’[[Académie nationale de médecine|Académie de médecine]] puis, en 1916, correspondant de l’[[Académie des sciences (France)|Académie des sciences]].
Morat prit sa retraite à Saint-Sorlin où il meurt en juillet 1920.▼
Il s’intéresse aux œuvres lyonnaises et il est membre de l’Académie des sciences et belles lettres de Lyon où il prononça un éloge de son maître, Claude Bernard.
Il est élevé au grade de chevalier de la [[Légion d’honneur]] en 1918.
== Œuvre ==
C’est dans le laboratoire de Claude Bernard qu’il rencontre [[Henry Toussaint]] avec qui il se lie d’amitié :
avec ce jeune vétérinaire, il fait de nombreuses recherches sur ''Les variations de l’état électrique des muscles'' ;
cette collaboration prend fin prématurément avec le décès, à 44 ans, de H. Toussaint.
C’est également
Il
Il
Si l’œuvre scientifique de Morat est importante, il eut peu d’élèves
Morat
== Hommage ==
[[File:Rue Professeur Morat (Lyon) - panneau de rue.jpg|thumb|Rue Professeur Morat (Lyon) - panneau]]
La [[rue Professeur-Morat]], dans le {{8e|arrondissement}} de Lyon lui est dédiée depuis 1938<ref>{{Ouvrage|auteur1=Maurice Vanario|titre=Rues de Lyon à travers les siècles|passage=p.201|lieu=Lyon|éditeur=éditions lyonnaises d'art et d'histoire|date=2002|isbn=284147-126-8}}</ref>.
{{Références}}
== Voir aussi ==
• Briau Eugène (Dr) Les Biographies médicales Déc. 1938 Lib Baillière et Fils Paris▼
=== Bibliographie ===
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{{Liens}}
{{Portail|physiologie|histoire des sciences|médecine|Grand Lyon|Saône-et-Loire}}
{{DEFAULTSORT:Morat}}
[[Catégorie:Médecin français du XIXe siècle]]
[[Catégorie:
[[Catégorie:
[[Catégorie:
[[Catégorie:Naissance en
[[Catégorie:Décès en
[[Catégorie:Enseignant à l'université Claude-Bernard-Lyon-I]]
[[Catégorie:Décès en Saône-et-Loire]]
[[Catégorie:Décès à 74 ans]]
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