Le Plan-de-la-Tour
Le Plan-de-la-Tour, dénommé jusqu'au Plan-de-la-Tour[1], est une commune française située dans le département du Var en région Provence-Alpes-Côte d'Azur. Ses habitants sont les Plantourians et les Plantouriannes.
Géographie
modifierLocalisation
modifierSituée à 9 km de la mer, les communes les plus proches sont Sainte-Maxime 9 km, La Garde-Freinet 11 km, Grimaud 13 km, Vidauban 14 km, Cogolin14 km, Saint-Tropez 19 km dont les 4 premières cités ci-dessus sont les fournisseuses officielles du foncier originel de la commune dénommé initialement Plan de la Tour en 1792 date de création connu du 26 mai
Hameaux
modifierLe Plan-de-la-Tour est composé de 26 hameaux environ, dont le Revest, les Gastons, le Préconil, Les Brugassières, Prat Bourdin, Courrero, Les Ricard, Vallaury, Les Vayacs, Les Bassinets, Le Plan, Gambade, Les Près, Les Pierrons, (lotissement) la Buon Aïgo, les Marcels, le Vernet[2] et le hameau de Coriolan (qui n'a de hameau que son intitulé commercial, car cette résidence ne constitute pas foncièrement les caractéristiques précisées aux termes du code de l'urbanisme).
Le hameau d'Emponse fut trop proche du centre du village et avec l'urbanisation galopante, il fut englobé dans ce dernier, commuant son titre de hameau en quartier.
D'autres ont été la proie de propriétaire capitalisant l'intégralité des parcelles du hameau, perdant de fait leur particule et se transformant en propriété privé comme les anciens hameaux Reverdi, Bagarry, Les Claudins, Les Martins, Gassine, Les Pignols.
Géologie et relief
modifierLe Granite de l'Hermitan[3], Leucocrate de Camarat, la Rhyolite[4].
Sismicité
modifierZone de sismicité Faible[5].
Hydrographie et les eaux souterraines
modifierCours d'eau sur la commune ou à son aval[6] :
- rivière le Préconil ;
- vallons de Sartouresse, du Revest, du Cours du Pey, des Prés ;
- ruisseau de Langastoua, d'Emponse, le Gourier[7], du Plan, des Mûres ;
- vallat le Marri Ruisseau ;
- ravin du Nartassier.
Le Plan-de-la-Tour dispose d'une station d'épuration d'une capacité de 5 000 équivalent-habitants[8].
Climat
modifierEn 2010, le climat de la commune est de type climat méditerranéen franc, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[9]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat méditerranéen et est dans la région climatique Var, Alpes-Maritimes, caractérisée par une pluviométrie abondante en automne et en hiver (250 à 300 mm en automne), un très bon ensoleillement en été (fraction d’insolation > 75 %), un hiver doux (8 °C) et peu de brouillards[10].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 15,4 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,9 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 954 mm, avec 6,6 jours de précipitations en janvier et 1,6 jours en juillet[9]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Cogolin_sapc », sur la commune de Cogolin à 10 km à vol d'oiseau[11], est de 15,6 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 958,0 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 42 °C, atteinte le ; la température minimale est de −9,5 °C, atteinte le [Note 1],[12],[13].
Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[14]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[15].
Urbanisme
modifierTypologie
modifierAu , Le Plan-de-la-Tour est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[16]. Elle appartient à l'unité urbaine de Le Plan-de-la-Tour[Note 2], une unité urbaine monocommunale constituant une ville isolée[17],[18]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Sainte-Maxime, dont elle est une commune de la couronne[Note 3],[18]. Cette aire, qui regroupe 2 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[19],[20].
Occupation des sols
modifierL'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (69,3 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (72 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (43,5 %), forêts (25,8 %), zones agricoles hétérogènes (17,7 %), cultures permanentes (8,5 %), zones urbanisées (4,6 %)[21]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Voies de communications et transports
modifierVoies routières
modifier- Commune desservie par les départementales 44 et 74.
Transports en commun
modifierLa commune est desservie par le réseau départemental Varlib[22].
Lignes SNCF
modifier- La gare la plus proche se trouve à gare des Arcs - Draguignan, à 28 km,
Histoire
modifierIsolée par les difficultés d'accès liées à son relief et, également, par l'insécurité qui frappait les rivages de la mer, l'actuelle vallée du Préconil, autrefois connue sous le nom de Val d'Avignon, est restée longtemps inhabitée ou peu habitée. Au XVIe siècle, dans ces grands espaces, près des points d'eau intarissables pendant la longue période de sécheresse de l'été, apparaissent quelques bastides destinées à répondre aux exigences de la vie agricole, forestière et familiale. Ces bastides, progressivement, deviendront des hameaux regroupant, initialement, les descendants d'une même famille. C'est là le germe du type de société qui s'est perpétué, dans le respect des traditions, et qui s'est longtemps exprimé dans un paysage rural inséparable de la société qui l'avait créé[23].
L'un de ces hameaux, Saint-Martin, le centre de l'actuel village, deviendra le chef-lieu de fait, puis de droit, de la communauté qui, depuis le XVIe siècle, s'est fixée sur des lieux géographiques communs.
En Provence, d'une manière générale, les limites des communes sont celles des anciennes seigneuries. Tel n'est pas le cas du Plan-de-la-Tour qui regroupe trois quartiers relevant, chacun, sous l'Ancien Régime, d'unités féodales différentes. Ils sont pourtant connus sous ce toponyme apparu à la fin du XVe siècle. Il y vit une population qui, par la géographie des lieux et sa manière de vivre, a le sentiment d'être solidaire dans le droit de s'administrer elle-même.
La plus grande partie de cette population s'est fixée dans la haute vallée ou se trouvent les hameaux de Saint-Martin, Préconil, le Vernet, les Pennes, les Pierrons, Prat-l'Estagnol, Valauri et Emponse. Le hameau de Saint-Martin, où ont été édifiés, en 1723, l'église et le cimetière, préfigure, on l'a dit, le chef-lieu. À la veille de la Révolution, les habitants de ces lieux, administrativement rattachés à La Garde-Freinet, sont remarquablement structurés et comptent « trois maîtres en chirurgie et des artisans de presque toutes espèces ». Les chroniqueurs les plus autorisés de l'époque écrivent que les paysans de ce quartier sont laborieux et hardis, actifs pour le commerce et religieux.
La deuxième partie de la communauté est constituée par le Haut Quartier de Saint-Pierre de Miramas et recouvre les hameaux de Prat-Bourdin, le Plan, Bagarri et Gassine. Elle est rattachée à Sainte-Maxime ainsi que le hameau du Revest qui perpétue le nom de ce fief supprimé pendant la Révolution.
Les cérémonies du bicentenaire seront des images. Mais elles exprimeront les secrètes affinités d'une réalité matérielle avec la croyance dans les libertés urbaines chèrement acquises, on va le voir, par nos ancêtres. Cette communauté, en effet, revendiquait le simple droit de se gouverner elle-même. Mais ce droit ne lui était nullement reconnu et il existe aujourd'hui parce qu'il a été arraché, de haute lutte, par les habitants des lieux où nous vivons.
Dans le courant du XVIIIe siècle, ces habitants forment une communauté qui prend conscience d'elle-même. La crise d'émancipation qui l'anime se cristallise, dans l'État officiellement catholique de l'époque, autour de l'épineuse question de l'érection d'une paroisse à Saint-Martin simple succursale de la Moure. Cette tentative échoue. Elle est reprise, pendant la Révolution, et le les citoyens actifs de Saint-Martin du Plan-de-la-Tour se réunissent dans l'église et se proclament indépendants de la Garde du Freinet. Depuis toujours, La Garde-Freinet manifestait une opposition farouche à la sécession. Un incident est significatif du climat dans lequel se déroulaient les événements. La décision ayant été prise, par le Directoire de Fréjus, de faire prêter serment, en 1792 au vicaire Pelloquin, desservant de la succursale de Saint-Martin, les administrateurs de la Garde-Freinet soutenaient qu'il leur appartenait de recevoir ce serment, ce que niaient les habitants du Plan-de-la-Tour. Un huissier fut commis pour signifier l'acte. À son retour il fit connaître que « les habitants étaient beaucoup émeutés contre la municipalité de La Garde-Freinet et que les représentants de celle-ci ne pouvaient se déplacer sans danger, à Saint-Martin, pour y recevoir le serment de l'abbé ».
Après maintes difficultés, la commune sera officiellement créée le par une décision du Directoire du Var siégeant à Brignoles. Paradoxalement, elle laissera hors de ses limites le quartier du Plan qui lui a donné son nom et qui, partie intégrante de Sainte-Maxime, ne lui sera rattaché que plus tard. Enfin, le procès-verbal de division et de limitation des territoires entre la commune du Plan-de-la-Tour et La Garde-Freinet ne sera établi que le vingt neuvième jour de fructidor an IV de la République (1796)[24].
Politique et administration
modifierListe des maires
modifierIntercommunalité
modifierLa commune est membre de la Communauté de communes du golfe de Saint-Tropez
Budget et fiscalité 2021
modifierEn 2021, le budget de la commune était constitué ainsi[29] :
- total des produits de fonctionnement : 3 503 000 €, soit 1 173 € par habitant ;
- total des charges de fonctionnement : 2 993 000 €, soit 1 002 € par habitant ;
- total des ressources d’investissement : 1 335 000 €, soit 447 € par habitant ;
- total des emplois d’investissement : 508 000 €, soit 170 € par habitant.
- endettement : 717 000 €, soit 240 € par habitant.
Avec les taux de fiscalité suivants :
- taxe d’habitation : 18,99 % ;
- taxe foncière sur les propriétés bâties : 29,28 % ;
- taxe foncière sur les propriétés non bâties : 64,95 % ;
- taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties : 0 % ;
- cotisation foncière des entreprises : 0 %
Chiffres clés Revenus et pauvreté des ménages en 2020 : Médiane en 2020 du revenu disponible, par unité de consommation : 22 370 €[30].
Population et société
modifierDémographie
modifierÉvolution démographique
modifierL'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[31]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[32].
En 2021, la commune comptait 3 055 habitants[Note 4], en évolution de +13,36 % par rapport à 2015 (Var : +4,45 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Enseignement
modifier- École maternelle[35] et primaire,
- Établissements d'enseignement secondaire proches :
Santé
modifier- Professionnels et établissements de santé : médecins[37], pharmacie[38].
- Maison médicale proche[39].
Cultes
modifier- Culte catholique, diocèse de Fréjus-Toulon, paroisse Saint-Martin[40].
Économie
modifierEntreprises et commerces
modifierAgriculture
modifierTourisme
modifierCommerces et services
modifier- Commerces et entreprises de proximité
- Boucherie charcuterie, épicerie, coiffure, etc.
Culture locale et patrimoine
modifierLieux et monuments
modifier-
Menhir de Pra-Bourdin. -
Dolmen Saint-Sébastien. -
Ancien presbytère : salle d'expositions.
- Oppidum de San Peire[47],[48] ;
- Menhir néolithique final de Prat-Bourdin[49] ;
- Dolmens de Saint-Sébastien (Saint Sébastien (martyr))[50] ;
- Ancienne école édifiée en 1860, restaurée en 2007 et aujourd'hui siège de la mairie ;
- Fontaine du quartier Saint-Martin ;
- Office de tourisme[51] ;
- Ruines du château[52] ;
- la tour Paulety[53] ;
- Le four banal.
Patrimoine religieux :
- Église Saint-Martin construite à la fin du XVIIIe siècle, et son campanile inaugurée le [54],[55];
- Chapelle Saint-Pierre-de-Miramas[56],[57] ;
- Ancien presbytère, place Clemenceau ;
- Monuments commémoratifs :
- Monument aux morts[58],
- Plaque commémorative dans l'église.
Monument classé au titre des monuments historiques
modifier- Le Rêve de l'oiseau, 1968-1971, ensemble architectural de Niki de Saint Phalle[59],comprenant une Nana-maison, Big Clarice (hauteur 7 mètres), une Sorcière, et "Le Rêve de l'oiseau construit par Niki de Saint Phalle en collaboration avec Rainer von Hessen (metteur en scène allemand) et Jean Tinguely, sculpteur, dans la forêt varoise de la commune du Plan-de-la-Tour classé au titre des monuments historiques par arrêté du [60]. Le terrain a été modelé, en étages, pour accueillir les bâtiments[61].
Personnalités liées à la commune
modifier- Rainer von Hessen, né en 1939 à Kronberg im Taunus, également appelé Rainer von Diez dans le milieu du spectacle, est un metteur en scène allemand. Il appartient à la maison de Hesse. Il possède le terrain dans la forêt sur la commune du Plan-de-la-Tour, sur lequel il a travaillé avec Niki de Saint Phalle à la construction du Rêve de l'oiseau.
- Niki de Saint Phalle, créatrice d'œuvre dénommé le rêve de l'oiseau en collaboration avec Jean Tinguely ainsi que Rainier de Hesse-Cassel et qui est toujours visible depuis la route.
- Johnny Depp et Vanessa Paradis[62] y possèdent une propriété[63], sur un terrain de quinze hectares[64]. Le clip de la chanson Pourtant (album Bliss), de Vanessa Paradis, réalisé par Johnny Depp (sous le pseudonyme de Richard Mudd), est tourné dans les jardins de leur propriété.
- La famille Berthier, héritière, par alliance, de la comtesse Wratislaw, y possède trois villas familiales.
- Le cinéaste Paul Vecchiali s'y installe en 2006 et y réalise les films Les Gens d'en-bas, Retour à Mayerling et d'autres par la suite. Il est inhumé au cimetière communal.
- Léon Spariat y est curé du au et ce fût un musicien, un poète provençal, un félibrige qui a écrit de nombreux ouvrages en provençal dont le « Tintourleto » au Plan-de-laTour.
- Jean Aicard, célèbre académicien, appréciait le village . D’ailleurs il s’est fortement inspiré de Monsieur Pin, hôtelier haut en couleur et de belle renommée dans la région, ayant reçu à l’époque un grand nombre de personnalités, écrivains, politiques, acteurs… pour représenter l’aubergiste Monsieur Jouve dans un chapitre de son roman «Maurin des Maures».
- Aristide Fabre, grand ami de Jean Aicard, passionné d’archéologie régionale et auteur de plusieurs ouvrages.
- Georges Clemenceau, surnommé le « Tigre » puis « Père la Victoire ». Une plaque commémorative visible dans le hall d’accueil du restaurant atteste de ses nombreuses visites.
- Étienne Périer, réalisateur belge qui réalise plusieurs films avec les deux sociétés de productions qu’il a fondées : « Plan film » et « Les films de la Tour » utilisant le toponyme : Le Plan de la Tour et d'autres pour d’importants studios d'Hollywood (Pont vers le soleil, Zeppelin, Commando pour un homme seul…).
- L'architecte Jean-Louis Véret, membre fondateur de l'Atelier de Montrouge y possédait un terrain dans les hauteurs de la commune, sur lequel il construisit une habitation troglodyte.
- Marcel Leroux photographe astronomique amateur plantourian qui depuis son petit observatoire construit sur la commune à réaliser une des plus belle photographie de France de la comète de Halley lors de son passage près de la terre durant l'hiver 1986 et Florence Lanliard a présidé une réception émouvante retraçant les actions au sein de la vie assiotiative, culturelle et publique du village.
Héraldique
modifierD'or à la tour de gueules posée sur une terrasse de sable[65].
Notes et références
modifierNotes
modifier- Les records sont établis sur la période du au .
- Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
Cartes
modifier- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
modifier- La commune a changé de nom par décret no 2008-1021 du 3 octobre 2008 portant changement de nom de communes, après délibération du conseil municipal de Plan-de-la-Tour du 19 juin 2006 et du conseil général du Var du 24 novembre 2006.
- De très nombreux hameaux (25 au total !) sont disséminés sur la commune
- Affleurement
- Carte de subtences utiles : Gisements de matériaux de construction et de viabilité]
- Didacticiel de la règlementation parasismique
- L'eau dans la commune.
- Des cours d’eau singuliers.
- Description de la station : Plan de la Tour village.
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Le Plan-de-la-Tour et Cogolin », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Cogolin_sapc », sur la commune de Cogolin - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Cogolin_sapc », sur la commune de Cogolin - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 du Le Plan-de-la-Tour », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune ».
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Sainte-Maxime », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- réseau départemental Varlib
- Histoire du village sur Provence 7
- Présentation de la commune
- Joseph Salvarelli, Les Administrateurs du département du Var (1790-1897). Notices biographiques (1897), p.425 « [1]
- https://maitron.fr/spip.php?article102216, notice BRANSIEC Victorien [BRANSIEC Paul, Eugène, Victorien] par Jacques Girault, version mise en ligne le 3 novembre 2010, dernière modification le 3 novembre 2010.
- Conseil municipal 2020
- Présentation par l'Association des maires de France
- Les comptes de la commune
- Chiffres clés Évolution et structure de la population. Dossier complet
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- École maternelle
- Établissements d'enseignement proches
- Médecins
- Pharmacie
- Maison médicale, sur la route du Plan-de-la-Tour
- La paroisse Saint-Martin du Plan-de-la-Tour
- Coopérative vinicole Les Fouleurs de Saint-Pons : Étude historique et architecturale
- « Coopérative vinicole Les Fouleurs de Saint Pons », notice no IA83001357, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture enquête thématique régionale (coopératives agricoles de Provence-Alpes-Côte d'Azur)
- Golfe de Saint Tropez, Plan-de-la Tour : 1 coopérative
- Restauration
- Hébergements
- Le village club aux 5 sens
- « Vue générale de l'oppidum de San Peïre et du castrum de Miramas (Plan-de-la-Tour, Var) », notice no ARR93_20078300125, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mémoire, ministère français de la Culture.
- « Oppidum de San Peïre et castrum de Miramas. Plan-de-la-Tour, San Peïre », notice no ARR93_20078300125, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mémoire, ministère français de la Culture.
- « Menhir : structure mégalithique », notice no ARR93_20098300098, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mémoire, ministère français de la Culture.
- Dolmen de San-Sébastien
- Infos touristiques
- Charles-Laurent Salch, Dictionnaire des châteaux et des fortifications du moyen âge en France, Strasbourg, Editions Publitotal, 4ème trimestre 1979, 1287 p. (ISBN 978-2-86535-070-4 et 2-86535-070-3)Plan-de-la-Tour (Le), p. 905
- La tour Paulety
- Un peu d'histoire du village
- La commune du Plan de la Tour s’engage dans la restauration du clocher de l’Eglise Saint Martin et son campanile en fer forgé avec le soutien de la Fondation du patrimoine
- Les églises et édifices religieux recensés par l'Observatoire du patrimoine religieux (OPR)
- Chapelle Saint-Pierre, Le Plan-de-la-Tour
- Monument aux morts du Plan-de-la-Tour
- « Rêve de l'Oiseau », notice no PA83000017, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Le sol des parcelles D 778 et D 779, en totalité : inscription par arrêté du - Le " Rêve de l'Oiseau " et le sol de la parcelle D 777 : classement par arrêté du .
- Camille Morineau et al 2014, p. 335.
- Vanessa Paradis vend son domaine du Sud de la France
- Anne Le Hars, « La propriété où ont vécu la star hollywoodienne Johnny Depp et la comédienne et chanteuse française Vanessa Paradis », france3-regions.francetvinfo.fr, .
- « Johnny Depp dévoile son quotidien avec Vanessa Paradis, sa vie en France, et... son rêve secret ! », sur purepeople.com, .
- Canton de Grimaud : Le Plan-de-la-Tour, Vexillologie Provençale, sur le site personnel de Dominique Cureau
Voir aussi
modifierBibliographie
modifier- Base mérimée :
- Le Rêve de l'oiseau
- Bourg castral de Pétiache « bourg castral de Pétiache », notice no IA83001192, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Bourg castral de Miramas « bourg castral de Miramas », notice no IA83001191, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Aperçu des connaissances sur le mégalithisme de Provence orientale - Florian Mothe : la « sectorisation » de l’espace sépulcral; inhumation / incinération
- Inventaire des mégalithes du département du Var (dolmens, tumulus...) : Commune du Plan-de-la-Tour
- Le Plan-de-la-Tour, sur provence7.com/
- Collectif Grand Palais (dir.), Niki de Saint Phalle : 1930-2002, Paris, RMN, , 367 p. (ISBN 978-2-7118-6151-4). catalogue établi à l'occasion de l'exposition au Grand Palais Paris, et de l'exposition au musée Guggenheim (Bilbao) avec la participation de la Niki Charitable Art Foundation de Santee (Californie).
- Charles-Laurent Salch, Dictionnaire des châteaux et des fortifications du moyen âge en France, Strasbourg, Editions Publitotal, 4ème trimestre 1979, 1287 p. (ISBN 2-86535-070-3)Plan-de-la-Tour (Le), p. 905
- Chiffres clés publiés par l'institut national de la statistique et des études économiques (INSEE). Dossier complet
- Inventaire national du patrimoine naturel de la commune
- Mouvements de terrain, p. 25 : Cavités souterraines]
- Photothèque Archéologie :
Articles connexes
modifierLiens externes
modifier- Site officiel
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Plan-de-la-Tour sur le site de l'Insee
- Le patrimoine architectural et mobilier des communes sur le site officiel du ministère français de la Culture (Bases Mérimée, Palissy, Palissy, Mémoire, ArchiDoc), Médiathèque de l'architecture et du patrimoine (archives photographiques) diffusion RMN, et service régional de l'inventaire général de la direction de la Culture et du Patrimoine de la Région PACA]