Musée national du Cameroun
Type |
Musée national |
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Ouverture | |
Surface |
5 000 m2 |
Site web |
Collections |
Masques traditionnels, instruments de musique, catalogue photographique |
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Nombre d'objets |
Œuvres contemporaines, emblèmes |
Protection |
Monument du Cameroun (d) |
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Pays |
Cameroun |
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Commune | |
Adresse |
Musée National du Cameroun, 75058 Yaoundé- Cameroun |
Coordonnées |
Le musée national du Cameroun, situé à Yaoundé, est un musée public camerounais. Il est un ancien palais présidentiel.
Histoire
[modifier | modifier le code]Débuts et projets
[modifier | modifier le code]L’ancien palais présidentiel devenu musée national du Cameroun a d’abord servi de résidence au major Hans Dominik (1870-1910), qui dirige le poste militaire de Yaoundé à l’époque du protectorat allemand. Après la Première Guerre mondiale et le retrait à l’Allemagne de toutes ses colonies, les français occupent ce bâtiment pour servir de palais au gouverneur à partir de 1930.
En 1930, le gouverneur français Marchand construit cet espace, plein de symboles. À la fin des années 1940, le bâtiment devient palais des gouverneurs français à l’instar de Roland Pré, André Soucadaux, Pierre Charles Cournarie et d’autres jusqu’en 1950[1]. Il connait des extensions à partir de 1960 sous les auspices du tout premier président du Cameroun, El Hadj Ahmadou Ahidjo.
En 1988, le Cameroun franchit une étape décisive en matière de valorisation de son patrimoine culturel. C'est en effet à cette date que l'idée de créer un musée national prend forme. Le président Paul Biya décide alors de transformer l'ancien palais présidentiel en un musée national, espace dédié à la conservation et à la préservation des richesses culturelles du pays. Un groupe d'experts, composé d'archéologues, d'anthropologues et d'architectes se charge de mener à bien ce projet ambitieux. Leur objectif est de créer un musée polyvalent qui ne se contente pas d'exposer des objets, mais qui devient également un lieu de recherche, de documentation et d'échange. Ce musée, pensé comme un écomusée, vise à établir un lien fort entre l'homme, la culture et son environnement[2].
L'avènement de Paul Biya à la présidence du Cameroun en 1982 marque un tournant décisif dans la vie politique du pays. Soucieux de dynamiser le secteur culturel, le nouveau chef d'État va initier un vaste projet de rénovation nationale. Dans ce contexte, la décision de transformer l'ancien palais présidentiel en musée s'inscrit comme une étape majeure[2].
En 1993, ledit musée devient un service de la direction du patrimoine culturel, selon le décret n° 93/138 du 19 mai 1993 portant organisation du ministère de la Culture. Ce ministère voit le jour le 27 novembre 1992.
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Le ministère de l’Information et de la Culture de l’époque est chargé de matérialiser ce projet, une mission d’étude est mise sur pied, dirigée par le couple Germain et Galitzine Loumpet enseignants de l’université de Yaoundé. L’architecte Barry Lane, expert mis à la disposition de cette mission par l’Unesco, y est associé. Ce dernier est chargé de « l’aménagement de l’environnement du musée ainsi que de la traduction, en termes de travaux d’architecture, de la trame du musée ».
Sur la base de nombreuses études et multiples voyages effectués en Europe et en Afrique de l’Ouest entre 1990 et 1991, un rapport technique, fruit d’un travail intellectuel et administratif, présentant les contours du projet est remis au ministre de l’Information et de la Culture (MINFOC). L’année 1991 marque donc la phase de conception du projet et le MINFOC, Augustin Kontchou Kouomegni crée le 19 décembre 1991 la commission de mise en place du musée national ; ladite commission se constitue de 20 membres, parmi lesquels le MINFOC qui préside personnellement. Outre le ministre, Germain Loumpet et Alexandra Galitzine Loumpet qui participent à l’équipe de conception, fait partie de la commission; le directeur de la culture et de la cinématographie, responsable de la gestion des musées, des sites et monuments historiques, s'y retrouve également.
À la fin de cette année 1997, de nombreux travaux se font au musée national en vue de son ouverture. Ces travaux portent sur la présentation muséographique des collections et définition des rôles entre les diverses composantes du musée et leurs relations mutuelles. Un peu plus d’un an après, soit en 1999, le ministre de la culture organise un séminaire de formation en vue de renforcer les capacités des participants dans la gestion des collections publiques et privées.
Ce projet de création du musée national du Cameroun dans l’enceinte de l’ancien palais présidentiel est aussi fastidieux que le précédent pour au moins deux raisons : de par son objectif principal qui est celui d’en faire un creuset de l’unité des cultures nationales, de renforcement de la cohésion sociale, un laboratoire de la construction de l’identité culturelle camerounaise. Il l’est aussi de par ses fonctions, car il était prévu que le musée national comprenne des jardins, un musée en plein air, une bibliothèque et un pôle de la recherche.
L’ouverture du musée national dans la foulée du 21e sommet France-Afrique organisé à Yaoundé du 17 au 19 janvier 2001 parait être la résurgence du projet du musée national du Cameroun (MUSCA) piloté par Germain et Alexandra Gilitzine Loumpet et qui a périclité à partir de l’année 1992. De nombreuses critiques médiatiques et hommes de culture vont se soulever contre le musée national ce d’autant qu’à cette ouverture, de nombreux chantiers portant sur la réhabilitation sont encore en cours. Le musée national ouvre ses portes sans que la muséographie et l’organigramme ne soient achevés. Les conséquences se manifestent rapidement. Le musée national sera incapable d’assumer convenablement les taches qui lui incombent, à savoir l’éducation, la conservation et la diffusion du patrimoine culturel. Il ferme ses portes en 2008.
En 2009, le ministre des arts et de la culture, Ama Tutu Muna engage des travaux de rénovation pour une durée de 7 ans. Le décret n°2014/0881/P.M. du 30 avril 2014 permet au musée national du Cameroun d’avoir un organigramme. Ces travaux de rénovation dureront jusqu’en 2015, avec sa réouverture officielle le [3].
Une soirée de gala accompagne cette réouverture avec la participation de plusieurs artistes camerounais : X-Maleya, Stanley Enow, Kareyce Fotso, Sanzy Viany, Dynastie le Tigre…, une danse classique du couple Maxim Beloserkovsky et Irina Dvorovenko, et bien d’autres[4],[5].
Acquisitions, mises en place et lancement
[modifier | modifier le code]Lancé officiellement en 1988, ce projet ambitionne de créer un espace dédié à la conservation, à la valorisation et à la diffusion du patrimoine culturel camerounais. Une commission pluridisciplinaire, réunissant archéologues, préhistoriens et anthropologues, historiens, architectes, collectionneurs, quelques représentants d'autres ministères (Tourisme, Urbanisme et Habitat), un représentant de la présidence de la République, un représentant des services du Premier ministre, un représentant du Comité national du suivi des résolutions des états généraux de la culture, un représentant du programme des Nations Unies (PNUD) se constitue pour mener à bien cette entreprise. Promouvoir l'identité nationale, et, partant, la conscience nationale, est un objectif permanent et certainement essentiel à la définition de la philosophie générale du musée. Sous l'impulsion de Germain Loumpet, cette équipe œuvre à la définition des grandes orientations du futur musée, notamment en ce qui concerne les collections, les expositions et les programmes éducatifs[2].
Administration
[modifier | modifier le code]Promoteur, tutelle & direction/gestion du musée
[modifier | modifier le code]Un conseil d'administration dirige le musée; il a à sa tête un président, Bidoung Mkpatt, par ailleurs ministre des arts et de la culture au Cameroun. Son actuel directeur est Hugues Heumen Tchana, Ordre du Mérite Camerounais pour les Arts et la Culture suivant un décret présidentiel de décembre 2021[6].
Financements
[modifier | modifier le code]Tourisme et fréquentation
[modifier | modifier le code]Architecture et organisation de l’espace
[modifier | modifier le code]Architecture
[modifier | modifier le code]Son architecture reflète une fusion entre le style colonial elles éléments traditionnels camerounais, offrant ainsi un cadre unique pour la conservation d’exposition et la présentation des objets culturels.
Organisation de l’espace
[modifier | modifier le code]L’ensemble, étalé sur 15 000m² environ[7], porte un édifice central de 5 000m²[8], en surface bâtie. Le bâtiment principal se constitue d'une trentaine de salles d’exposition[9] entourée de jardins et de quelques bâtiments annexes[10]
Le musée national se trouve au sein de l’ancien palais présidentiel[7]. Ce site historique, lieu de mémoire de l’histoire politique du pays, se voit affecté au musée national le 17 novembre 1988, par une décision du président de la république du Cameroun Paul Biya.
Il est la résidence du premier président du Cameroun[11].
Aspects techniques, équipements et services
[modifier | modifier le code]Situé à Yaoundé il est un véritable joyau architectural et culturel. Inauguré officiellement le 15 janvier 2015, ce musée est installé dans l’ancien palais présidentiel, un bâtiment historique qui a servi de résidence à plusieurs figures politiques importantes du pays[7]. C’est un cadre où l’histoire est parlante. Pour Engelbert Mveng cité par Joseph-Marie Essomba, il dépasse le simple cadre de conservation et de préservation de la culture matérielle. Il se présente désormais comme un établissement où l’on met en valeur le patrimoine culturel. C'est un livre ouvert au grand public où chacun apprend à mieux connaître son pays. Il s'agit d'une école d’intégration nationale où chacun s’identifie et éprouve un sentiment de fierté et d’appartenance à la nation (J-M. Essomba, 1992 : 288-293).
Aspects Techniques
[modifier | modifier le code]Les études scientifiques et techniques pour la réhabilitation du bâtiment débutent en 1991, avec pour objectif de créer un espace de conservation, d’exposition, de préservation, de promotion et de communication du patrimoine culturel camerounais[9]. L’architecte Barry Lane, expert de l’UNESCO, y travaille dans la conception et l’aménagement.
Équipements
[modifier | modifier le code]Il possède diverses installations modernes pour assurer la conservation et la mise en valeur des collections. Parmi les équipements notables, on trouve des vitrines climatisées pour la préservation des artefacts sensibles, des systèmes d’éclairage spécialisés pour mettre en valeur les œuvres sans les endommager, et des dispositifs de sécurité avancés pour protéger les collections. Les salles d’exposition sont également dotées de panneaux explicatifs et de supports multimédias interactifs pour enrichir l’expérience des visiteurs[9].
Les collections du musée comprennent des masques traditionnels, des instruments de musique tels que le mvet, les castagnettes, la sanza et les cloches, ainsi que des habitats traditionnels et des costumes patrimoniaux des dix régions du Cameroun. Une toile géante, réalisée par une dizaine d’artistes africains et offerte au Cameroun en 2014, est également exposée. Le musée possède également des emblèmes nationaux, des catalogues photographiques retraçant les 50 dernières années du Cameroun, des cartes historiques, des découvertes archéologiques, et des portraits de figures marquantes de l’histoire politique du pays[9].
Services
[modifier | modifier le code]Le musée national offre une gamme de services destinés à divers publics. Il propose des visites guidées pour les groupes scolaires et les touristes, permettant une meilleure compréhension des expositions grâce aux explications détaillées des guides. Des ateliers éducatifs et des conférences sont régulièrement organisés pour sensibiliser le public à l’importance du patrimoine culturel camerounais. De plus, le musée dispose d’une boutique de souvenirs où les visiteurs peuvent acheter des reproductions d’objets exposés, des livres et d’autres articles culturels[9].
Il joue également un rôle important dans l’intégration nationale et la promotion de l’identité culturelle. Selon Engelbert Mveng, il dépasse le simple cadre de conservation et de préservation de la culture matérielle. Il se présente comme un établissement où l’on met en valeur le patrimoine culturel, un livre ouvert au grand public où chacun apprend à mieux connaître son pays. C’est une école d’intégration nationale où chacun s’identifie et éprouve un sentiment de fierté et d’appartenance à la nation[9].
Il est non seulement un lieu de conservation et de présentation du patrimoine culturel, mais aussi un espace éducatif et interactif qui contribue à la promotion de l’identité culturelle camerounaise.
Autres activités connexes liées
[modifier | modifier le code]Collections
[modifier | modifier le code]Expositions
[modifier | modifier le code]Ce musée conserve les éléments de la culture matérielle ancienne de quatre aires culturelles qui constituent le territoire camerounais, notamment l’aire culturelle Grassfields, Sawa, Soudano-Sahélien et Fang Béti.
Le musée national, qui symbolise la régénération et la renaissance de la culture camerounaise[12] comporte une trentaine de salles équipées[5] de :
- symboles culturels du Cameroun : des masques traditionnels, des instruments de musique : mvet, castagnattes, sanza, cloches et même ceux de Manu Dibango (saxophone)...[7], d’habitats traditionnels, costumes patrimoniaux des dix régions[11] ;
- polyptyque (toile géante réalisée par une dizaine d’artistes africains, offert au Cameroun en par l’arrière-petite-fille de Pierre Savorgnan de Brazza, l’italienne Idana Pucci[13] ;
- emblèmes (armoiries, drapeau national avec hymne en versions littéraire et musicale) ;
- catalogues photographiques des 50 dernières années du Cameroun (10 ans par salle avec un résumé des évènements politiques, sociaux, économiques et diplomatiques ayant marqué cette période) ;
- cartes présentant les différentes modifications de la superficie du Cameroun[12] ;
- exemplaires de la constitution, des découvertes archéologiques ;
- portraits des nationalistes, des sportifs, des musiciens ainsi que de tous ceux qui ont marqué l’histoire politique du Cameroun depuis son indépendance[8] ;
- expositions de vêtements et costumes patrimoniaux des dix régions[3].
Permanentes
[modifier | modifier le code]- Commémoration centenaire des ordres
- Sao
Temporaires
[modifier | modifier le code]En 2024, cette institution culturelle accueille une diversité d'expositions temporaires :
- Extra Natural : il a accueilli du 16 mai 2024 au 31 août 2024 cette exposition, installation immersive en réalité virtuelle conçue par l'artiste français Miguel Chevalier, figure emblématique de l'art numérique et virtuel. Cette exposition a été présentée dans le cadre d'un programme d'expositions temporaires visant à promouvoir l'innovation de la créativité dans le domaine des arts numériques.
- Soul Makossa man : le musée a présenté du 21 juin au 15 août 2024, l'exposition photographique Soul Makossa man, une commémoration dédiée à la mémoire du légendaire musicien camerounais Manu Dibango, disparu en 2020. Cette exposition fruit de la collaboration avec le journaliste, animateur et photographe Samuel Nja Kwa, s'inscrit dans le cadre de la politique de programmation culturelle du musée, visant à promouvoir la mémoire collective et à célébrer les icônes de la culture camerounaise. Elle a offerte aux visiteurs une opportunité unique de découvrir l'univers artistique de la vie cet illustre artiste à travers une sélection de photographies emblématique[14].
- Le septentrion : dynamiques entre passé et présent". Cet événement a constitué une exposition temporaire, co-organisée par le musée national du Cameroun et le musée d'Angoulême, avec le soutien de l'Institut français du Cameroun. Cette manifestation culturelle s'est déroulée du 12 juillet 2024 au 15 décembre 2024, sous la direction scientifique des commissaires d'exposition Mme Émilie Salaberry et Pr. Hugues Heumen Tchana[15].
- Il était une fois la naissance du Staat Kamerun (1884-1914) : découvrez l'histoire méconnue du Cameroun colonial à travers cette exposition au musée national du Cameroun du 30 octobre 2024 au 28 février 2025. C'est une initiative conjointe du musée national du Cameroun, de Doual'art et du Goethe-Institut, en collaboration avec le Markk de Hambourg et avec le soutien du Ministère des Affaires Étrangères d'Allemagne et de Pain pour le monde. Cette exposition inaugurale vise à créer un dialogue innovant entre les faits historiques, les objets patrimoniaux et les œuvres d'art contemporain qui abordent la période de la colonisation allemande au Cameroun. À travers une approche pluridisciplinaire, l'exposition examine les nouvelles normes et codes introduits sous l'administration allemande, qui ont profondément marqué le tissu social, culturel et économique du Cameroun. L'exposition met en lumière les changements significatifs survenus pendant cette période, en mettant l'accent sur leur impact sur les sociétés camerounaises et les dynamiques de pouvoir en jeu. Fondée sur la nécessité de développer une compréhension commune de l'histoire camerounaise, cette exposition vise également à susciter un large débat auprès du public, qui sera alimenté par des ateliers participatifs destinés à différents groupes cibles et tranches d'âge[16].
- L'art et la créativité dans la promotion du vivre ensemble et du multiculturalisme : cette exposition s'inscrit dans une démarche de médiation culturelle et de cohésion sociale, visant à promouvoir la réconciliation et l'intégration entre les personnes déplacées et les communautés d'accueil. À travers une approche éducative et inclusive, cette exposition célèbre la diversité culturelle et linguistique en mettant en avant les valeurs d'unité, de tolérance et de respect mutuel. En tant qu'espace de dialogue et d'échange, elle contribue à renforcer les liens sociaux et à favoriser une meilleure compréhension entre les différentes communautés[17].
Notes et références
[modifier | modifier le code]- Site officiel du ministère des Arts et de la Culture du Cameroun
- Madeleine Ndobo, « Les musées publics et privés au Cameroun », Revue scientifique, vol. Vol. 39, no N° 155-156, , pp. 801-803
- © 2015 AFP, « Cameroun: le musée national revit après une importante rénovation », La Dépêche, (lire en ligne, consulté le ).
- « Événements », sur Africultures (consulté le ).
- « Une soirée de gala pour la réouverture du Musée national », sur ct2015.cameroon-tribune.cm (consulté le )
- Alumni Senghor, « Élévation de Hugues Heumen Tchana », sur www.alumni-usenghor.org (consulté le )
- « Musée - Musée National du Cameroun - Yaoundé », sur www.petitfute.com (consulté le )
- « Cameroun : Musée national, une machine à explorer le temps – Jeune Afrique », Jeune Afrique, (lire en ligne, consulté le ).
- « Musé National du Cameroun : Un joyau architectural chargé d’histoire – Cameroon KNCET », (consulté le )
- Mathieu Mvogo, « Le Musée national - Yaoundé Cameroun », sur Actualite et Informations du Cameroun., (consulté le )
- « Musée National », sur Tourisme au Cameroun (consulté le )
- « Cameroun: le musée national revit après une importante rénovation », L'Express, (lire en ligne, consulté le ).
- Interview de Madame Ama Tutu Muna, ministre des arts et de la culture, lors de la réception du polyptyque
- Pierre Vennetier, « Kengne Fodouop et Bopda Athanase. 2000 - Un demi-siècle de recherche urbaine au Cameroun. », Cahiers d'Outre-Mer, vol. 55, no 218, (ISSN 0373-5834 et 1961-8603, DOI 10.4000/com.2333, lire en ligne, consulté le )
- Louis Paul Roger Kabelong Banoho, Cedric Chimi Djomo, Libalah Moses Bakonck et Nadège Tagnang Madountsap, « Determinants of Dependency Between Local Communities and Forest Resources Around a Protected Area in Cameroon », FORESTIST, vol. 74, no 2, , p. 189–197 (ISSN 2602-4039, DOI 10.5152/forestist.2024.23011, lire en ligne, consulté le )
- « Actualité de l'art africain, tout savoir sur l'art tribal et les arts premiers », sur www.art-africain.info, (consulté le )
- « l'exposition l'art et la créativité dans la promotion du vivre ensemble et du multiculturalisme organisée au musée national du Cameroun à Yaoundé - Recherche Google », sur www.google.com (consulté le )
Annexes
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]- Mathieu Olivier, « Cameroun : Musée national, une machine à explorer le temps », in Jeune Afrique, , [lire en ligne]
- Hugues Heumen Tchana, Musées nationaux d'Afrique : rôles et enjeux. Le musée national de Yaoundé, L'Harmattan, 2014, 208 p. (ISBN 978-2-343-03779-0)
Articles connexes
[modifier | modifier le code]Liens externes
[modifier | modifier le code]
- Site officiel
- Diagnostic du musée national (interview de Hugues Heumen Tchana, )