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« Utilisateur:Luca Di Amoretti » : différence entre les versions

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:Ah ben non, ne laissez pas tomber ! C'est précisément ce que veulent certains intervenants sectaires !--[[Utilisateur:Plijno|Plijno]] ([[Discussion utilisateur:Plijno|d]]) 9 juin 2010 à 11:45 (CEST)
:Ah ben non, ne laissez pas tomber ! C'est précisément ce que veulent certains intervenants sectaires !--[[Utilisateur:Plijno|Plijno]] ([[Discussion utilisateur:Plijno|d]]) 9 juin 2010 à 11:45 (CEST)
:J'aurais été content de vous téléphoner, mais il y a plusieurs personnes qui portent votre nom... Vous habitez dans quel département ?... Merci...--[[Utilisateur:Plijno|Plijno]] ([[Discussion utilisateur:Plijno|d]]) 9 juin 2010 à 12:01 (CEST)
:J'aurais été content de vous téléphoner, mais il y a plusieurs personnes qui portent votre nom... Vous habitez dans quel département ?... Merci...--[[Utilisateur:Plijno|Plijno]] ([[Discussion utilisateur:Plijno|d]]) 9 juin 2010 à 12:01 (CEST)
::Merci de votre soutien. --[[Utilisateur:Luca Di Amoretti|Luca Di Amoretti]] ([[Discussion utilisateur:Luca Di Amoretti|d]]) 18 juillet 2010 à 00:41 (CEST)
::Merci de votre soutien, Plijno, Iluvalar, GL, Chandres, Lgd, Papa6, D.N., Chandres, et tous les autres que je ne peux citer.--[[Utilisateur:Luca Di Amoretti|Luca Di Amoretti]] ([[Discussion utilisateur:Luca Di Amoretti|d]]) 18 juillet 2010 à 14:40 (CEST)




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Version du 18 juillet 2010 à 13:40

Lassé du fonctionnement actuel de WP, qui pourtant m'avait enthousiasmé pendant trois ans, je cesse définitivement mes contributions. --Luca Di Amoretti (d) 7 juin 2010 à 19:50 (CEST)

« Le meilleur usage que nous saurions faire de la douceur, c'est de l'appliquer à nous-mêmes, ne dépitant jamais contre nous ni contre nos imperfections. » (saint François de Sales).


Ah ben non, ne laissez pas tomber ! C'est précisément ce que veulent certains intervenants sectaires !--Plijno (d) 9 juin 2010 à 11:45 (CEST)
J'aurais été content de vous téléphoner, mais il y a plusieurs personnes qui portent votre nom... Vous habitez dans quel département ?... Merci...--Plijno (d) 9 juin 2010 à 12:01 (CEST)
Merci de votre soutien, Plijno, Iluvalar, GL, Chandres, Lgd, Papa6, D.N., Chandres, et tous les autres que je ne peux citer.--Luca Di Amoretti (d) 18 juillet 2010 à 14:40 (CEST)


environnement
Physique des particules
Tigre à dents de sabre (2006)
en-3
it-3
ja-1
Tigre à dents de sabre



Présentation

J'aime aussi beaucoup la randonnée, où je me ressource.

J'écris sur Wikipedia en signant de mon anagramme, mais mon vrai nom est Claude Mariotti (on sait jamais, ça peut servir).

Je m'intéresse aussi à la philosophie des sciences (page de discussion du Dernier théorème de Fermat), à la méthaphysique et à la psychanalyse.

Retrouver une sérénité

.
Algorithme :
Suite finie d’opérations élémentaires
constituant un schéma de calcul ou
de résolution d’un problème.
(Petit Larousse).


Si l’on se sent déprimé sans raison apparente, et que cela dure depuis plusieurs jours déjà :

1. S’obliger à prendre quelques minutes pour se détendre, et chercher quelle a pu être l’idée négative (idée triste ou angoissante, désespérante, etc.), et fausse, que l’on s’est mise en tête ces derniers temps, avant les premiers symptômes de mal-être.

2. Lorsque l’idée déclencheur est trouvée, il est parfois difficile d’admettre, surtout si le mal-être est installé depuis quelque temps :

– D’une part que cette idée puisse être fausse – c’est là la plus grande difficulté.
– D’autre part qu’elle puisse être la cause d’une telle souffrance.
– Enfin qu’il existe sans doute une autre issue que ce mal-être.

Se demander alors si cet état – état négatif – a vraiment sa place dans la dynamique constructive de la vie. On voit immédiatement que non, et on admet mieux alors que l’idée négative déclencheur est une idée fausse.

3. Il peut être troublant de constater que l’on a pu se mettre en tête une idée aussi saugrenue. Se demander alors si lorsque cela s’est produit, on n’était pas déjà dans un état de fragilité. Si tel est le cas, cette découverte est rassurante, qui nous permet de mieux comprendre pourquoi la déprime a pu survenir.

Nous fantasmons parfois beaucoup sur un futur idyllique que nous procurerait un évènement tardant à venir. L’attente est alors difficile. Cette idée fausse d’un avenir sans souci contrarie beaucoup notre manière de vivre le présent, lequel nous paraît terne en comparaison.

Si décidément on n’arrive pas à trouver l’idée négative, souvent issue d’associations d’idées inconscientes, se poser la question : « Dans tout ce que j’ai pu ressentir récemment, où puis-je dire qu’il y a eu "pulsion de mort" ? »


L’idée fausse peut être liée à un concept plus général, comme :

1. L’impression de ne plus se sentir aimé. Par exemple lorsqu’une forte adversité survient. On pense alors que personne au monde – et surtout pas Dieu – ne pourra nous assister dans cette épreuve.

Si l’on se sent abandonné par une personne, cela nous ramène à nos abandons d’enfance. Se les remémorer, en reprendre conscience, nous donne une explication qui, par elle-même, soulage. La psychanalyse nous enseigne qu’il est tout à fait humain, honnête envers soi-même, urgent et libérateur, de réveiller en nous (mentalement) l’agressivité que l’on éprouve, tout au fond de soi, envers les personnes (souvent très proches) par qui l'on s’est senti abandonné – même si elles ne pouvaient faire autrement, de leur point de vue.

Ce sentiment d’abandon ramène à l’idée fausse – souvent inconsciente – d’un abandon total de la part du Projet de l’Univers, de Dieu.

Si j’ai abandonné ou négligé une personne, ou un projet, je peux aussi ressentir un manque très déstabilisant. La médecine chinoise nous enseigne qu’une douleur à la hanche est souvent révélatrice d’un sentiment d’abandon douloureusement vécu – courant chez les personnes âgées. La symbolique en étant que si la jambe veut bien partir en avant – il faut bien avancer dans la vie –, le reste du corps, non participatif, se sentant abandonné, préfère rester sur place : s’installe une dysharmonie pouvant à la longue provoquer une lésion irréversible si l’on continue à vouloir nier ses problèmes. Alors que tenter d’y remédier peut amener la guérison.


2. La crainte de ne pas pouvoir retrouver cet amour (un tel amour), cette amitié (une telle amitié), ce grand projet (ou un aussi grand projet), qui nous tenait tant à cœur.

Quand on a compris le caractère illusoire de l’idée fausse, enfin mise au jour, un changement de polarité se produit dans notre esprit, du négatif vers le positif. À un sentiment de fatalité déprimante, voire désespérante, se substitue cette idée libératrice et dynamisante : il est normal d’avoir toujours, comme un sportif, à lutter – bien qu’à chaque jour suffit sa peine. Alors nous pourrons être, davantage qu’auparavant, le véritable acteur de notre légende personnelle. Car c’est quand l’homme agit qu’il est vivant. Cette idée ouvre le chemin à une nouvelle et très belle disponibilité. Un sentiment de plénitude survient.


Remarque. La méthode décrite ci-dessus devrait en principe valoir aussi pour une dépression profonde. Ce serait négliger qu’une recherche solitaire et ponctuelle ne possède pas la puissance réparatrice suffisante. Il pourrait être avantageux alors de réexaminer tranquillement, avec un médecin de l’âme, en un dialogue bienveillant et une écoute respectueuse, les pensées erronées (et leurs implications) que l’idée fausse déclencheur, placée là en germe – souvent ancienne et considérée depuis longtemps comme une fatalité – a suscitées et laissé se développer. Et de déposer là, en un dépôt sacré, l’idée déclencheur qui a essaimé plus ou moins profondément.

Cette petite méthode peut cependant aider à éclaircir une situation de mal-être, donner des pistes de réflexion. Les tournants difficiles de l’existence recèlent souvent des malles au trésor insoupçonnées. Qui ne demandent qu’à être ouvertes. Le tout est de trouver la clé.

Mine de rien

« Dans les moments difficiles, les idées simples sont rares. » (Jean MONNET, initiateur de l'Europe)

« Ce n'est pas parce que c'est difficile que nous n'osons pas, c'est parce que nous n'osons pas que c'est difficile. » (Sénèque)

« Voyez-vous dans la vie, il n'y a pas de solutions. Il y a des forces en marche : il faut les créer, et les solutions les suivent. » (Saint-Exupéry).

« Fais de ta vie un rêve, et d'un rêve, une réalité. » (Saint-Exupéry).

J'unifie ces quatre propositions et je peux écrire :
« Dans les moments difficiles, si nous nous efforçons de trouver
des parades simples, nous pouvons changer le monde.
Ou, au moins, notre vie. Et notre vie, alors, devient
une vie rêvée. »

Quelques exemples : Jean Monnet ; Pierre Mendès-France ; Charles de Gaulle et son célèbre « Non ! » ; Freud et son complexe d'Œdipe – le mien aussi – ; Jung son disciple ; Einstein et sa formule toute simple E = MC² qui résume une théorie si complexe ; sœur Emmanuelle...

Présentation, suite

Je suis partisan d'une Écologie politique.

Mon cœur est plutôt à gauche, mais pour moi la liberté est sacrée, et le libre arbitre un don inestimable. Peut-être suis-je alors un socio-libéral.

Je suis né en mai 1950, j'avais 18 ans en mai 68, prisonnier derrière les grilles de mon lycée, ce qui n'est ni social ni libéral. Mon premier écrit, très important pour moi, date du 4/04/94. Il était 4 heures du matin bien sûr. J'adore les chiffres, les lettres encore plus.

Merci à ce site bien utile, qui part d'une idée toute simple et (donc) très puissante.

J'indique ici le mien[1], qui traite aussi du partage du travail en général, de sa philosophie, de sa nécessité, de ses avantages, des raisons politiques de son occultation. Qui décrit aussi les effets très pervers de la demi-mesure catastrophique de la loi des 35 heures.

Je l'ai revu, corrigé et augmenté le 2 janvier 2010. Je te souhaite de passer un agréable moment, ami lecteur.

Cordialement, Luca di Amoretti

Citations, suite

Françoise Dolto : « L'élimination des conflits favorise l'assimilation des paradoxes. »

Claude Mariotti : « Cessons de rêver au futur. C'est au présent qu'il faut rêver. »

Albert Einstein : « L'imagination est plus importante que la connaissance. »

Pierre Soulange : « C'est ce que je trouve qui m'appporte ce que je cherche. »

Condorcet : « Gardez par la sagesse ce que vous avez acquis par l'enthousiasme. »

Claude Mariotti : « Quand un homme est chômeur, neuf sont dans le malheur. »

Claude Mariotti : « Un économiste a toujours raison, sauf quand la profondeur

de sa réflexion est économique. »

(Inconnu) : « Une nation a les chefs qu'elle mérite. »

Claude Mariotti (inspiré de...?) : « La mort est une grande leçon d'humilité. »