Allinges
Allinges | |||||
Vue des ruines du château-Vieux à Allinges. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Auvergne-Rhône-Alpes | ||||
Département | Haute-Savoie | ||||
Arrondissement | Thonon-les-Bains | ||||
Intercommunalité | Thonon Agglomération | ||||
Maire Mandat |
François Deville 2020-2026 |
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Code postal | 74200 | ||||
Code commune | 74005 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Allingeois | ||||
Population municipale |
4 853 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 323 hab./km2 | ||||
Population agglomération |
81 502 hab. (2021) | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 46° 20′ 09″ nord, 6° 27′ 51″ est | ||||
Altitude | Min. 438 m Max. 750 m |
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Superficie | 15,01 km2 | ||||
Type | Ceinture urbaine | ||||
Unité urbaine | Thonon-les-Bains (banlieue) |
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Aire d'attraction | Genève - Annemasse (partie française) (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Thonon-les-Bains | ||||
Législatives | Cinquième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Haute-Savoie
Géolocalisation sur la carte : Auvergne-Rhône-Alpes
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Liens | |||||
Site web | www.allinges.fr | ||||
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Allinges, que l'on retrouve encore parfois sous la forme ancienne Les Allinges[Note 1], est une commune française située dans le département de la Haute-Savoie, en région Auvergne-Rhône-Alpes.
Géographie
[modifier | modifier le code]La commune est située dans le Chablais savoyard aux abords du lac Léman, à proximité de Thonon-les-Bains.
Écarts et lieux-dits
[modifier | modifier le code]- Commelinges ;
- Mésinges ;
- Noyer ;
- Les Bougeries ;
- Château-Vieux ;
- Château-Neuf ;
- La Chavanne ;
- Les Fleysets ;
- Macheron
Communes limitrophes
[modifier | modifier le code]Anthy-sur-Léman | Thonon-les-Bains | Armoy | ||
Margencel | N | Lyaud, Orcier | ||
O Allinges E | ||||
S | ||||
Perrignier | Draillant |
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Allinges est catégorisée ceinture urbaine, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[3]. Elle appartient à l'unité urbaine de Thonon-les-Bains[Note 2], une agglomération intra-départementale regroupant treize communes, dont elle est une commune de la banlieue[Note 3],[4],[5]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Genève - Annemasse (partie française), dont elle est une commune de la couronne[Note 4],[5]. Cette aire, qui regroupe 158 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[6],[7].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (44,2 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (45,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (30,4 %), zones agricoles hétérogènes (30 %), zones urbanisées (21,9 %), prairies (13,7 %), zones humides intérieures (3,4 %), terres arables (0,6 %)[8].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
-
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols en 2018 (CLC) de la commune.
-
Carte orthophotogrammétrique de la commune.
Toponymie
[modifier | modifier le code]Le toponyme Allinges dérive d'un nom d'origine burgonde *Alingum, « chez les Alingi », selon l'auteur Théodore Perrenot[9],[2],[10]. Il pourrait s'agir d'un dérivé de la forme familière d'un nom burgonde *alls, germanique *alla, qui signifie « tout, tout à fait ». Certains auteurs observent que le toponyme pourrait également dériver du prénom latin Alanus ou encore de l'ethnonyme Alains, un peuple envahisseur scythique originaire d'Asie, présence en Gaule vers le début du Ve siècle[2].
La paroisse est mentionnée sous la forme in Alingo entre 979 et 1046[2],[9],[10]. Au cours du XIIe siècle, on trouve les formes Alingis (1138-48) ou encore decanatus Allinges (1196), puis Alinco au début du siècle suivant[2],[9],[10]. Dans un document de 1210 du Cartulaire de Lausanne, il s'agit à nouveau de la forme Alingis, puis Cura de Alingio vers 1344[2],[10]. Lors de l'annexion du duché de Savoie par les troupes révolutionnaires françaises, la forme Alinges est utilisée (1793)[2],[10].
En francoprovençal, le nom de la commune s'écrit Alinzho selon la graphie de Conflans ou encore (Les) Alinjos selon l'ORB[11].
Les lieux-dits :
- Commelinges :
Nom d'origine burgonde, dérivant probablement de *Gumolingum (Gumoldingum), « chez les Gumoldingum »[12]. Le village est mentionné sous cette forme en 1540[12].
- Mésinges :
Nom d'origine burgonde, dérivant probablement de *Miesingus, d'un germanique *meusa, musa désignant un lieu marécageux, «où pousse la mousse »[13],[14]. Le village est mentionné au XIIIe siècle sous les formes Meizinio (1248), Mesingis (1294), Mecingis (1298), puis on trouve Messinge et Mezinges, durant les périodes révolutionnaire et impériale (1793, 1810)[13],[14].
Histoire
[modifier | modifier le code]Un dépôt de fondeur de la phase ancienne du bronze final (1350 à 1200 av. J.-C.) a été découvert en 1984. Il s'agit de fragments d'objets (pendeloques, torques, faucilles, épingle, hache, épée, poignard, lingots) en bronze qui avaient dû être enterrés dans un sac en toile ou en cuir. Ils sont conservés au Musée du Chablais[15].
Époque gallo-romaine
[modifier | modifier le code]Moyen Âge
[modifier | modifier le code]Châteaux des Allinges
[modifier | modifier le code]Une première mention du château des Allinges est citée dès 1071, mais il semblerait que les deux châteaux datent de cette période, appartenant chacun à deux branches ennemies de la même famille[16]. Les châteaux sont construits sur un belvédère naturel culminant à 712 mètres d'altitude, ce qui explique l'importance stratégique des lieux durant la période médiévale. La vue se déploie sur la plus grand partie du Chablais et des rives du Léman.
Entre 1123 et 1203, Château-Neuf ne relève plus de la famille d'Allinges, mais celle-ci y possède encore une maison-forte[16],[17],[18].
À partir de 1124, Château-Vieux est inféodé aux sieurs de Faucigny, devenant le centre d'une châtellenie[16].
Il faut attendre le XIIIe siècle pour que les dénominations Château-Vieux et Château-Neuf fassent leur apparition, le second dépendant désormais des comtes de Savoie[16]. Les conflits sont alors constants entre les deux châteaux séparés par 150 mètres, l'un appartenant aux sires de Faucigny et l'autre à la maison de Savoie. Chaque château disposait de solides fortifications et abritait son propre bourg. La paix est rétablie en 1355 lorsque la baronnie de Faucigny est intégrée aux États de Savoie.
Au fil de l'histoire, les châteaux connaissent plusieurs propriétaires et des guerres entre les catholiques et la réforme genevoise.
Seule construction n'étant pas en ruine, la chapelle est en bon état de conservation et classée en 1907 comme monument historique. On peut y découvrir une fresque datant du XIe siècle.
Période contemporaine
[modifier | modifier le code]Lors des débats sur l'avenir du duché de Savoie, en 1860, la population est sensible à l'idée d'une union de la partie nord du duché à la Suisse. Une pétition circule dans cette partie du pays (Chablais, Faucigny, Nord du Genevois) et réunit plus de 13 600 signatures[Note 5], dont 186 pour la commune[21]. Le duché est réuni à la suite d'un plébiscite organisé les 22 et 23 avril 1860 où 99,8 % des Savoyards répondent « oui » à la question « La Savoie veut-elle être réunie à la France ? »[22]. Dans un certain nombre de communes, les bulletins “non” étaient camouflés ou oubliés.
Le , un TER percute un autocar scolaire transportant des élèves du collège de Margencel, sur un passage à niveau du hameau de Mésinges. Sept mineurs, âgés entre onze et treize ans, y trouvent la mort[23]. Le 6 mars 2014, Réseau ferré de France annonce que le passage à niveau va être rénové, à cause de défauts du platelage, durant le mois d'avril 2014[24]. Après la mise en service d'un contournement par le sud, comprenant un pont-route au-dessus de la voie ferrée, le passage à niveau est supprimé en novembre 2015[25], cependant qu'une stèle en mémoire des victimes est inaugurée sur les lieux de l'accident[26].
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Situation administrative
[modifier | modifier le code]Allinges appartient au canton de Thonon-les-Bains, qui compte selon le redécoupage cantonal de 2014 12 communes[27]. Avant ce redécoupage, elle appartenait au canton de Thonon-les-Bains-Ouest, créé en 1995 des suites de la scission de l'ancien canton de Thonon-les-Bains.
Elle forme avec sept autres communes la communauté de communes des collines du Léman (CCCL).
Allinges relève de l'arrondissement de Thonon-les-Bains et de la cinquième circonscription de la Haute-Savoie, dont le député est Marc Francina (UMP) depuis les élections de 2012[28]
Rattachée à Thonon agglomération depuis janvier 2017
Députée: Marion Lenne LREM
Tendances politiques et résultats
[modifier | modifier le code]Liste des maires
[modifier | modifier le code]Population et société
[modifier | modifier le code]Les habitants de la commune sont appelés les Allingeois[29],[30].
Démographie
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[31]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[32].
En 2021, la commune comptait 4 853 habitants[Note 6], en évolution de +11,21 % par rapport à 2015 (Haute-Savoie : +5,99 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Enseignement
[modifier | modifier le code]La commune d'Allinges est située dans l'académie de Grenoble. En 2015, elle administre une école maternelle et une école élémentaire « Joseph Dessaix » regroupant 437 élèves[35]. En janvier 2022, une deuxième école maternelle et élémentaire « l'aérospatiale » ouvre afin d'alléger l'école de la chavanne et accueille 40 pour cent de ses anciens élèves.
Manifestations culturelles et festivités
[modifier | modifier le code]La 9e édition de la fête du Fromage a eu lieu en août 2008.
Économie
[modifier | modifier le code]Tourisme
[modifier | modifier le code]En 2014, la capacité d'accueil de la station, estimée par l'organisme Savoie Mont Blanc, est de 15 931 lits touristiques répartis dans 2 728 structures[Note 7]. Les hébergements se répartissent comme suit : 18 meublés ; un centre ou Village de vacances/auberge de jeunesse et un refuge ou gîte d'étape[36].
Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]- Le bloc erratique sculpté : cette gravure rupestre a été classée monument historique par arrêté du 28 janvier 1907[37].
- Château-Vieux.
- Château-Neuf et sa chapelle romane avec fresque du XIe siècle (monument classé au titre des Monuments historiques).
- La « pierre du Diable » surnommée aussi « la pierre à Passet » au hameau du Châteauvieux.
- Château de Chignans.
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]- Maison d'Allinges.
- Commune de naissance de Joseph Dessaix né à La Chavanne le 7 mai 1817, auteur savoyard et créateur du Chant des Allobroges.
- Henri Capitant, décédé aux Allinges, juriste français, agrégé de droit, professeur de droit privé.
- Charles Bouvet-Bionda (1918-2005), athlète olympique, y est né.
Héraldique
[modifier | modifier le code]Les armes d'Allinges se blasonnent ainsi : De gueules, à la croix d'or. Les armes de la commune reprennent ceux de la famille d'Allinges[38],[39]. |
Voir aussi
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]- Monique Constant, "L'établissement de la Maison de Savoie au sud du Léman. La châtellenie d'Allinges-Thonon (XIIe siècle-1536)", in Mémoires et documents de l'Académie chablaisienne, t. LX, 1972.
- Henri Baud, Jean-Yves Mariotte, Histoire des communes savoyardes : Le Chablais, Roanne, Éditions Horvath, , 422 p. (ISBN 978-2-7171-0099-0), p. 57-58, « Canton de Thonon », 125 à 133, « Allinges ».
- Abbé Jean-François Gonthier (1847-1913), Les Châteaux et la chapelle des Allinges, Annecy, impr. de J. Niérat (Ancienne imprimerie Burdet), , 136 p. (lire en ligne)
Articles connexes
[modifier | modifier le code]- Liste des communes de la Haute-Savoie
- Mésinges, commune d'Allinges
Liens externes
[modifier | modifier le code]- Ressources relatives à la géographie :
- Site officiel
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes et cartes
[modifier | modifier le code]- Notes
- La graphie Allinges respecte le Code officiel géographique français[1]. On trouve encore parfois au niveau local ou dans la littérature l'emploi de l'article « Les », Les Allinges, pour la désigner[2].
- Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
- Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l’agglomération ou de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine de Thonon-les-Bains comprend une ville-centre et douze communes de banlieue.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Cette pétition réunit plus de 13 651 signatures dans des villages de la partie nord du duché (aujourd'hui la Haute-Savoie) : 60 communes du Faucigny, 23 du Chablais savoyard et 13 aux environs de Saint-Julien-en-Genevois, soutenue par l’Angleterre[19],[20].
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
- La structure Savoie Mont Blanc, pour ces données statistiques de capacité d'accueil en termes de lits touristiques d'une station ou d'une commune, additionne les établissements marchands, qui appartiennent au secteur de l'hôtellerie, et les hébergements non marchands, qui n'impliquent donc pas de transaction commerciale comme les résidences secondaires[36].
- Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Références
[modifier | modifier le code]- Code officiel géographique des Allinges sur le site de l'Insee, consulté le 30 août 2014.
- D'après Henry Suter, « Aleins, Allinges », Noms de lieux de Suisse romande, Savoie et environs, sur henrysuter.ch, Henry Suter, 2000-2009 (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Thonon-les-Bains », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune ».
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Genève - Annemasse (partie française) », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- Théophile Perrenot, Albert Dauzat, La Toponymie burgonde, 1942, p. 191.
- Adolphe Gros, Dictionnaire étymologique des noms de lieu de la Savoie, La Fontaine de Siloé, (réimpr. 2004, 2021) (1re éd. 1935), 519 p. (ISBN 978-2-84206-268-2, lire en ligne), _ _ _.[source insuffisante].
- Lexique des noms des communes savoyardes en arpitan : Lé Kmoune in Savoué, Bruxelles, Parlement européen, , 43 p. (ISBN 978-2-7466-3902-7, lire en ligne), p. 17préface de Louis Terreaux, membre de l'Académie de Savoie, publié au Parlement européen à l'initiative de la députée Malika Benarab-Attou..
- D'après Henry Suter, « Commelinges », Noms de lieux de Suisse romande, Savoie et environs, sur henrysuter.ch, Henry Suter, 2000-2009 (consulté le ).
- Théophile Perrenot, Albert Dauzat, La Toponymie burgonde, 1942, p. 195.
- D'après Henry Suter, « Mésinges », Noms de lieux de Suisse romande, Savoie et environs, sur henrysuter.ch, Henry Suter, 2000-2009 (consulté le ).
- Laurent Berman, « Un dépôt de l'âge du bronze découvert sur la commune d'Allinges », Nature et patrimoine en pays de Savoie, pages 10-11, n° 37, juin 2012.
- Histoire des communes savoyardes 1980, p. 127.
- Histoire des communes savoyardes 1980, p. 24.
- « Compte de la châtellenie d'Allinge-Thonon », Archives départementales de la Savoie, SA 14784 : "unum fossatum a tornella juxta portam extra clausuras usque ad domum Jaquemeti de Alingio".
- Luc Monnier, L'annexion de la Savoie à France et la politique suisse, 1860, A. Jullien, , p. 98.
- Paul Guichonnet (préf. Henri Baud), Histoire de l'annexion de la Savoie à la France et ses dossiers secrets, Roanne, Éditions Horvath, , 354 p. (ISBN 978-2-7171-0235-2), p. 163.
- Manifestes et déclarations de la Savoie du Nord, Genève, Imprimerie-Lithographie Vaney, , 152 p. (lire en ligne), p. 43-45.
- Paul Guichonnet, Nouvelle encyclopédie de la Haute-Savoie : Hier et aujourd'hui, La Fontaine de Siloé, , 399 p. (lire en ligne), p. 18.
- Reconstitution de la collision mortelle d'Allinges, Le Figaro, 17 juin 2009.
- « Le passage à niveau d'Allinges va être rénové avant d'être supprimé », Tribune de Genève / AFP, (lire en ligne, consulté le ).
- « Suppression de deux passages à niveau à Allinges (Haute-Savoie) », communiqué de presse SNCF
- « Suppression du passage à niveau d’Allinges sept ans après une collision mortelle », sur Le Progrès, .
- « Décret no 2014-185 du 18 février 2014 portant délimitation des cantons dans le département de la Haute-Savoie », Légifrance, (consulté le ).
- « Résultats des élections législatives de 2012 : Haute-Savoie (74) - Cinquième circonscription (résultats officiels) », sur le site du ministère de l'Intérieur (consulté le ).
- « Allinges », sur le site de mutualisation des Archives départementales de la Savoie et de la Haute-Savoie - sabaudia.org (consulté le ), Ressources - Les communes.
- Michel Germain, Jean-Louis Hebrard et Gilbert Jond, Dictionnaire des communes de Haute-Savoie, Éditions Horvath, , 450 p. (ISBN 978-2-7171-0933-7), p. 424.
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- « Haute-Savoie (74) > Allinges > École », sur le site du ministère de l'Éducation nationale (consulté le ).
- « La capacité d'accueil touristique en Savoie-Mont-Blanc », Observatoire, sur le site Savoie-Mont-Blanc - pro.savoie-mont-blanc.com, (consulté en ) : « Les données détaillées par commune, et par station : nombre de structures, nombre de lits par type d'hébergements (fichier : Détail des capacités 2014, .xlsx) ».
- « Bloc erratique sculpté », notice no PA00118338, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Comte Amédée de Foras, Armorial et nobiliaire de l'ancien duché de Savoie, vol. 1, Grenoble, Allier Frères, 1863-1966, p. 22-36.
- André Borel d'Hauterive, Annuaire de la Noblesse de France et des Maisons souveraines, vol. A18, Grenoble, Allier Frères, (ISSN 2019-8086, lire en ligne), p. 373.