Berville-sur-Mer
Berville-sur-Mer | |
L'église Saint-Melaine Inscrit MH (1928). | |
Administration | |
---|---|
Pays | France |
Région | Normandie |
Département | Eure |
Arrondissement | Bernay |
Intercommunalité | Communauté de communes du Pays de Honfleur-Beuzeville |
Maire Mandat |
Pascale Driffort 2020-2026 |
Code postal | 27210 |
Code commune | 27064 |
Démographie | |
Gentilé | Bervillais |
Population municipale |
682 hab. (2021 ) |
Densité | 134 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 49° 25′ 55″ nord, 0° 21′ 44″ est |
Altitude | Min. 0 m Max. 97 m |
Superficie | 5,08 km2 |
Type | Commune rurale à habitat dispersé |
Unité urbaine | Hors unité urbaine |
Aire d'attraction | Le Havre (commune de la couronne) |
Élections | |
Départementales | Canton de Beuzeville |
Législatives | Troisième circonscription |
Localisation | |
Liens | |
Site web | berville-sur-mer.fr |
modifier |
Berville-sur-Mer est une commune française située dans le nord-ouest du département de l'Eure en région Normandie, en bord de l'estuaire de la Seine.
Géographie
[modifier | modifier le code]Localisation
[modifier | modifier le code]Berville-sur-Mer est une commune du Nord-Ouest du département de l'Eure située au sein du parc naturel régional des Boucles de la Seine normande. Elle appartient à la région naturelle du Lieuvin[1].
Berville-sur-Mer se trouve sur les bords de l'estuaire de la Seine, largement en amont du pont de Normandie. Cependant, étant localisée avant le point de confluence de la Risle et de la Seine, elle est officiellement située au bord de la mer, depuis une ordonnance de Napoléon Ier. Toutefois, au sens de la Loi littoral (1986), elle ne fait pas partie des communes littorales de France.
Enfin, la commune (et donc le département de l'Eure, en cet endroit) présente la particularité de s'étendre également sur la rive Nord de la Seine, par une bande de terre triangulaire d'environ 500 mètres de large en son sommet sur environ 2 km de long[2],[3]. Cette particularité a été utilisée comme élément de l'intrigue par l'auteur de romans policiers Ian Manook pour l'un des romans de son héros Yeruldelgger.
Le sentier de grande randonnée 224 Chemin de la vallée de la Risle part ou aboutit de Berville-sur-Mer (relie Verneuil-sur-Avre par Pont-Audemer, Brionne, Beaumont-le-Roger et Rugles).
Hydrographie
[modifier | modifier le code]La commune est arrosée par la Vilaine, un ruisseau qui se jette dans le canal de Retour d'Eau[5].
La commune est en outre riveraine de la Seine.
Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique franc, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[6]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Côtes de la Manche orientale, caractérisée par un faible ensoleillement (1 550 h/an) ; forte humidité de l’air (plus de 20 h/jour avec humidité relative > 80 % en hiver), vents forts fréquents[7]. Parallèlement le GIEC normand, un groupe régional d’experts sur le climat, différencie quant à lui, dans une étude de 2020, trois grands types de climats pour la région Normandie, nuancés à une échelle plus fine par les facteurs géographiques locaux. La commune est, selon ce zonage, exposée à un « climat contrasté des collines », correspondant au Pays d’Auge, Lieuvin et Roumois, moins directement soumis aux flux océaniques et connaissant toutefois des précipitations assez marquées en raison des reliefs collinaires qui favorisent leur formation[8].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,9 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 12,6 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 874 mm, avec 12,8 jours de précipitations en janvier et 8,6 jours en juillet[6]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Boulleville à 7 km à vol d'oiseau[9], est de 11,3 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 851,2 mm[10],[11]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[12].
Milieux naturels et biodiversité
[modifier | modifier le code]La commune fait partie du parc naturel régional des Boucles de la Seine normande.
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Berville-sur-Mer est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[13]. Elle est située hors unité urbaine[14]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction du Havre, dont elle est une commune de la couronne[Note 1],[14]. Cette aire, qui regroupe 116 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[15],[16].
La commune, bordée par l'estuaire de la Seine, est également une commune littorale au sens de la loi du , dite loi littoral[17]. Des dispositions spécifiques d’urbanisme s’y appliquent dès lors afin de préserver les espaces naturels, les sites, les paysages et l’équilibre écologique du littoral, comme par exemple le principe d'inconstructibilité, en dehors des espaces urbanisés, sur la bande littorale des 100 mètres, ou plus si le plan local d’urbanisme le prévoit[18].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (46 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (46 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (26,5 %), eaux maritimes (24,9 %), terres arables (19,5 %), forêts (19,2 %), zones urbanisées (9,8 %), zones agricoles hétérogènes (0,1 %)[19]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Toponymie
[modifier | modifier le code]Le nom de la localité est attesté sous la forme à finale latinisée Bervilla en 1077 (obituaire de Lisieux), Bervilla super Secanam en 1234 (cartulaire de Jumiéges ), Berville sur Seine en 1738, Saint-Mélaigne-de-Berville en 1868 (annuaire de l’association normande)[20].
Composé en -ville au sens ancien de « domaine rural », précédé du nom de personne germanique Bero[21]. Il s'agit d'un hypocoristique de l'anthroponyme germanique Bern de *beran « ours » (cf. allemand Bär, anglais bear « ours »).
Le déterminant complémentaire -sur-Mer sert à distinguer la commune des homonymes Berville-la-Campagne et Berville-en-Roumois (Eure).
Histoire
[modifier | modifier le code]Des fouilles menées au XIXe siècle ont montré que Berville était occupée à l'époque gallo-romaine.
Le lieu-dit Fosse-Glame aurait servi de poste d'observation avant la conquête normande de l'Angleterre en 1066.
Berville est citée pour la première fois au XIIIe siècle dans un acte où Robert VIII Bertrand de Bricquebec autorise l’abbaye de Grestain à récolter le varech[22] échoué.
Au Moyen Âge, Berville était certainement un port d'une certaine importance car on a retrouvé des restes de murailles de 80 cm d'épaisseur construites en silex mêlé de pierres. L'activité principale de Berville à partir du Moyen Âge est essentiellement la pêche. En 1760, les vases environnantes bloquèrent le port. Elles furent totalement déblayées en 1812.
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Équipements et services publics
[modifier | modifier le code]Eau et déchets
[modifier | modifier le code]Espaces publics
[modifier | modifier le code]Enseignement
[modifier | modifier le code]Postes et télécommunications
[modifier | modifier le code]Santé
[modifier | modifier le code]Justice, sécurité, secours et défense
[modifier | modifier le code]Population et société
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[25]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[26].
En 2021, la commune comptait 682 habitants[Note 2], en évolution de −1,87 % par rapport à 2015 (Eure : −0,5 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Manifestations culturelles et festivités
[modifier | modifier le code]Sports et loisirs
[modifier | modifier le code]Vie associative
[modifier | modifier le code]Cultes
[modifier | modifier le code]Médias
[modifier | modifier le code]Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]Berville-sur-mer compte deux édifices inscrits au titre des monuments historiques :
- L'église Saint-Melaine (XIIIe) Inscrit MH (1928)[29]. Le chœur date du XIIIe siècle et la nef du XIVe siècle. Successivement, plusieurs séries de travaux sont entreprises : construction de la tour clocher par Dupuis architecte de Pont-Audemer (1855 et 1856), construction d'une sacristie orientale (1873 à 1876) et travaux de démolition et restauration (1890 et 1891) ;
- Un manoir du XVIIIe siècle au lieu-dit Le Marollet Inscrit MH (1971)[30]. Sont inscrites : les façades et les toitures du manoir ainsi que du pigeonnier, le salon, la salle à manger et le bureau du rez-de-chaussée avec leurs boiseries.
L'édifice est aussi désigné sous le château de Berville-sur-Mer, ancienne propriété de la famille de Saint-Albon[31].
Par ailleurs, la commune compte sur son territoire plusieurs monuments inscrits à l'inventaire général du patrimoine culturel :
- Le manoir de la Pommeraye (XVIIIe et XXe)[32]. Ce manoir, ancienne propriété de la famille Houel de la Pommeraye, est situé à proximité du hameau de Carbec dans la commune de Fatouville-Grestain. Il subsiste un des deux pavillons carrés de brique du XVIIe siècle. Le manoir, construit au XVIIIe siècle, a été détruit en 1912. Il a été remplacé vers 1916 par le château actuel à pans de bois. Le lavoir et le moulin ont été détruits ;
- La mairie école (1885)[33] ;
- Le manoir du Marollet des XVIIe (?), XVIIIe et XIXe siècles au lieu-dit le Marollet[34]. Le logis et le colombier datent du XVIIIe siècle ; l'étable et le portail du XIXe siècle. Les reprises de façade et le décor intérieur lambrissé ont été réalisés au XIXe siècle. Le bâtiment servant actuellement de grange serait probablement des XVIIe et XVIIIe ; ce manoir a été habitué par Jacques Rueff .
- Une ferme des XVIe, XVIIIe et XIXe siècles[35] ;
- Deux maisons datant du XIXe siècle[36],[37].
Patrimoine naturel
[modifier | modifier le code]Zone humide protégée par la convention de Ramsar
[modifier | modifier le code]- Marais Vernier et vallée de la Risle maritime[38].
Zone marine protégée de la convention OSPAR (Atlantique Nord-est)
[modifier | modifier le code]- Estuaire de la Seine[39].
Parc naturel
[modifier | modifier le code]Réserve naturelle nationale
[modifier | modifier le code]Terrain acquis par le conservatoire du littoral
[modifier | modifier le code]- Rives de Seine sud - 27[42].
Natura 2000
[modifier | modifier le code]- Site Natura 2000 "Marais Vernier, Risle Maritime"[43].
- Site Natura 2000 "Estuaire de la Seine"[44].
- Site Natura 2000 "Estuaire et marais de la Basse Seine"[45].
ZNIEFF de type 1
[modifier | modifier le code]- Le blanc banc à Saint-Samson-de-la-Roque[46].
- Le marais du Hode[47].
- L'ancienne carrière du mont Courel à Berville-sur-mer et à Fatouville-Grestain[48].
Le mont Courel est un promontoire allongé et crayeux d'une altitude de 80 m situé entre les basses vallées de la Risle et de la Vilaine[5], surplombant l'estuaire de la Seine. Il s'étend également sur la commune de Fatouville-Grestain. Diverses végétations recouvrent ce site :
- des petites pelouses maigres de recolonisation qui disparaissent peu à peu au profit de la Brachypode penné (Brachypodium pinnatum) et de l'Origan vulgaire (Origanum vulgare) ;
- une végétation hygrophile où quelques espèces se développent comme le très rare Epipactis des marais (Epipactis palustris) ;
- des pelouses marnicoles où pousse l'Orobanche sanglante (Orobanche gracilis).
Par ailleurs, des éboulis permettent la présence de la Digitale jaune (Digitalis lutea), de la Blackstonie perfoliée (Blackstonia perfoliata) et de la Laîche glauque (Carex flacca). L'Argousier (Hippophae rhamnoides subsp. rhamnoides) est également présent.
Quant aux versants de la vallée de la Vilaine, ils sont constitués de sous-bois à Fragon (Ruscus aculeatus) qui abritent des espèces thermophiles comme l'Iris fétide (Iris foetidissima) ou la Garance voyageuse (Rubia peregrina).
Enfin, du point de vue faunistique, le milieu est propice à la reproduction de quelques espèces d'oiseaux telles que le Faucon crécerelle (Falco tinnunculus) ou le Choucas des tours (Corvus monedula).
- Les alluvions[49].
Cette ZNIEFF s'étend également sur les communes de Fiquefleur-Équainville et de Fatouville-Grestain pour le département de l'Eure et sur les communes de La Rivière-Saint-Sauveur, d'Ablon et d'Honfleur pour le département du Calvados.
La majeure partie de cette ZNIEFF est occupée par une saulaie-bétulaie sur sable et par des fourrés dunaires à argousiers. Leur localisation sur les alluvions récentes de la Seine font de cette zone un site naturel quasiment unique en Normandie. Ce milieu est complété par des canaux, des mares, des prairies humides pâturées, des phragmitaies, des petits secteurs de dunes fixées et des mégaphorbiaies.
Du point de vue floristique, ce site abrite des espèces botaniques rares à très rares voire protégées au niveau régional ou même national :
le Lotier à feuilles étroites, l'Ophioglosse langue-de-serpent, la Pyrole des dunes, la Menthe pouliot, le Polypogon de Montpellier, le Saule argenté, le Troscart des marais, la Corrigiole des rives, la Laîche arrondie, l'Amarante blanche, l'Amaranthe à feuilles marginées, le Plantain des sables, etc.
Des orchidées occupent également cette zone : l'Épipactis des marais (Epipactis palustris), l'Orchis à fleurs lâches (Orchis laxiflora), le Souchet brun (Cyperus fuscus), la Lentille d'eau sans racine (Wolffia arrhiza), la Patience maritime (Rumex maritimus), la Patience des marais (Rumex palustris) et la Belladone (Atropa belladonna), etc.
Du point de vue faunistique, est à relever la présence d'orthoptères dont notamment la Courtillière (Gryllotalpa gryllotalpa) et le Tétrix des vasières (Tetrix ceperoi) et de papillons dont certaines espèces très rares, voire protégées au niveau national (le Sphinx de l'épilobe (Proserpinus proserpina), Euxoa cursoria, Parastichtis suspecta, Apamea oblonga, Chorthodes extrema, Arenostola phragmitidis, Chilodes maritimus, etc.).
Enfin, la diversité offerte par ces milieux est favorable à la nidification de nombreux oiseaux tels que la Bouscarle de Cetti (Cettia cetti), le Loriot (Oriolus oriolus), l'Hirondelle de rivage (Riparia riparia), le Grèbe castagneux (Tachybaptus ruficollis), le Râle d'eau (Rallus aquaticus), le Vanneau huppé (Vanellus vanellus), le petit Gravelot (Charadrius dubius), le Martin-pêcheur (Alcedo atthis), le Rossignol philomèle (Luscinia megarhynchos), le Phragmite des joncs (Acrocephalus schoenobaenus), etc.
ZNIEFF de type 2
[modifier | modifier le code]- ZNIEFF 230009161 – La basse vallée de la Risle et les vallées conséquentes de Pont-Audemer à la Seine[50].
Site classé
[modifier | modifier le code]- Le domaine du château de Berville (partie sud-est) Site classé (1944)[51].
Sites inscrits
[modifier | modifier le code]- Le château et les bois du domaine de Berville Site inscrit (1943)[52] ;
- La rive gauche de la Seine aux abords du pont de Tancarville Site inscrit (1967)[53] ;
- La rive gauche de l'embouchure de la Seine Site inscrit (1977)[54].
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]- Jacques Rueff (1896-1978), haut fonctionnaire et économiste, président du Comité Rueff-Armand (1959-1960), avait une propriété à Berville.
Voir aussi
[modifier | modifier le code]Article connexe
[modifier | modifier le code]Liens externes
[modifier | modifier le code]Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes
[modifier | modifier le code]- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
Cartes
[modifier | modifier le code]- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]- « Le Lieuvin », sur Atlas des paysages de la Haute-Normandie (consulté le ).
- http://www.cartesfrance.fr/carte/?n=Berville-sur-Mer&g=Eure&s=27&uh=http://www.cartesfrance.fr/carte-france-ville/hotel_27233_Berville-sur-Mer.html&uv=http://www.cartesfrance.fr/carte-france-ville/27233_Berville-sur-Mer.html.
- « BERVILLE-SUR-MER - Carte Ign et topographique de la trace gps pour cette… », sur randogps.net (consulté le ).
- « Géoportail (IGN), couche « Communes » activée ».
- Sandre, « Fiche cours d'eau - La Vilaine (H7020600) ».
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- GIEC normand, Le climat en Normandie : présentation et évolution, , 18 p. (lire en ligne), p. 2
- « Orthodromie entre Berville-sur-Mer et Boulleville », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Boulleville » (commune de Boulleville) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Boulleville » (commune de Boulleville) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l’Insee, (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune ».
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Le Havre », sur insee.fr (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « Les communes soumises à la loi littoral. », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr, (consulté le ).
- « Loi relative à l’aménagement, la protection et la mise en valeur du littoral. », sur cohesion-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- Ernest Poret de Blosseville, Dictionnaire topographique du département de l’Eure, Paris, , p. 18.
- François de Beaurepaire (préf. Marcel Baudot), Les Noms des communes et anciennes paroisses de l'Eure, Paris, A. et J. Picard, , 221 p. (ISBN 2-7084-0067-3, OCLC 9675154), p. 65.
- Le varech, du normand warec, werec signifiant épave, est d'origine anglo-scandinave. Jusqu'au Moyen Âge, le varech ne désigne pas seulement l'algue, comme aujourd'hui, mais tout ce que rejette la mer sur la côte comme les poissons, les baleines, les épaves de toutes sortes et autres.
- Élections d'avril 2014
- "Pascale Driffort, nouvelle élue à Berville-sur-Mer : « Je ne pensais pas un jour devenir maire »" par Stéphane Fouilleul, L'Eveil de Pont-Audemer, le 28 juin 2020
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- « Église », notice no PA00099342, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Manoir », notice no PA00099343, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Famille de Saint-Albon sur État présent de la noblesse française, 1866, p. 952.
- « Manoir de la Pommeraye », notice no IA00054716, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Mairie, école », notice no IA00054712, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Manoir », notice no IA00054717, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Ferme », notice no IA00054715, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Maison », notice no IA00054713, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Maison », notice no IA00054714, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Marais Vernier et Vallée de la Risle maritime », sur Muséum national d'Histoire naturelle - Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « Estuaire de la Seine », sur Muséum national d'Histoire naturelle - Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « Boucles de la Seine normande », sur Muséum national d'Histoire naturelle - Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « Estuaire de la Seine », sur Muséum national d'Histoire naturelle - Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « Rives de Seine sud - 27 », sur Muséum national d'Histoire naturelle - Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « Marais Vernier, Risle Maritime », sur Muséum national d'Histoire naturelle - Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « Estuaire de la Seine », sur Muséum national d'Histoire naturelle - Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « Estuaire et marais de la Basse Seine », sur Muséum national d'Histoire naturelle - Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « Le blanc banc à Saint-Samson-de-la-Roque », sur Muséum national d'Histoire naturelle - Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « Le marais du Hode », sur Muséum national d'Histoire naturelle - Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « L'ancienne carrière du mont Courel à Berville-sur-mer et à Fatouville-Grestain », sur Muséum national d'Histoire naturelle - Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « Les alluvions », sur Muséum national d'Histoire naturelle - Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « La basse vallée de la Risle et les vallées conséquentes de Pont-Audemer à la Seine », sur Muséum national d'Histoire naturelle - Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « Le domaine de Berville à Berville-sur-Mer », sur Direction Régionale de l'Environnement, de l'Aménagement et du Logement Normandie (consulté le ).
- « Le château et les bois du domaine de Berville à Berville-sur-Mer », sur Carmen - L'application cartographique au service des données environnementales (consulté le ).
- « La rive gauche de la Seine aux abords du pont de Tancarville », sur Carmen - L'application cartographique au service des données environnementales (consulté le ).
- « La rive gauche de l'embouchure de la Seine », sur Carmen - L'application cartographique au service des données environnementales (consulté le ).