Catéchisme, catéchumène, catéchèses, catholicisme, catholique, catholicité, etc. C'est du jargon de cathos.
Il n'existe pas autant de verbiage pour décrire les autres religions. C'est d'ailleurs peut-être pourquoi islamisme a pris une connotation intégriste intolérante
En matière de Foi il n'y a que de la mauvaise foi, d'expérience vécue personnellement.
Je vous ai bien cerné(e) comme issue de la culture des "lettres" autrefois qualifiées d'"humanités". Il se trouve que je la connais très bien de par mon histoire familiale. Je suis en quelque sorte leu vilain petit canard ou mouton noir ; ce qui explique (en partie uniquement) ma véhémence. Je connais trop bien cette culture de l'apologie (j'ai failli écrire orgueil) de la culture, du mépris des incultes quitte à insulter l'esprit par des incohérences grossières (pour un logicien) d'une rhétorique fallacieuse.
« Les mots sont bien trop petits pour pouvoir contenir l'esprit. »
Les mots sont définis avec des mots sans la moindre rigueur (il y a bien trop d'implicites faute d'avoir remis en cause leur universalité). Je n'y peux rien c'est factuel pour les langues naturelles contrairement aux langages artificiels tels que la mathématique.
Si vous avez besoin de mots pour y voir clair dans vos pensées, cessez de croire que c'est universel, c'est juste majoritaire. Les mots ne servent qu'à communiquer, c'est la raison de leur invention. La conceptualisation n'a pas attendu que le mot concept existe pour être. Vaugelas a beau avoir affirmé un avis qui est devenu dogmatique dans le corps académique, il avait tort de le généraliser. Les neurosciences ont déjà commencé par en faire la démonstration. L'autisme Asperger en témoigne.
Votre citation c'est de la puer littérature. Le mal est déjà dans l'œuf du culte des mots, c'est-à-dire leur définition. Leur usage en joue en permanence (la composition du corps politique en témoigne largement), rajouter du lexique au lexique ne fait que rajouter de la complexité conceptuelle arbitraire (celui de son ou ses inventeurs) qui en réduit l'usage utile à des cercles très fermés de spécialistes. Ça n'éclaire jamais le commun des mortels.
Je ne critique pas la valeur de votre travail. En laïc votre confession ne m'intéresse pas. J'ai juste noté que ça ne vous dérangeait pas de faire part belle à l'Église ultra majoritaire. Je n'ai évoqué mes propres racines que pour vous aider à mieux me décoder, si nécessaire.
Je ne cherche pas le conflit, il vient à moi-même. J'ai certes bien des défauts mais je ne me résume pas à eux.
Si je ne partage pas les implicites majoritaires, ça me rend plus exigeant, ça me donne un point de vue autre, ça complique ma communication avec les psycho-normés (désolé de cette expression, ici norme est à prendre au sens statistique mathématique). Je n'ai eu cesse de m'améliorer à décoder et coder l'expression verbale (c'est un labeur de traduction). Je me suis amélioré avec le temps, mais ça reste encore insuffisant alors je continue à tenter de faire mieux à entendre et parler une langue qui m'est étrangère bien que maternelle.
La surutilisation de "communion" sans la préciser autrement qu'en référence à la Cène (je suis d'ailleurs celui qui a inséré en premier ce lien interne qu'une annulation en vrac a fait disparaitre. Merci de l'avoir restitué), fait de cet article une sorte d'apologie de l'Église Catholique (vu que toutes les critiques ont été déportées ailleurs, ce qui se justifiait pour bien de raisons autres).
Que qui a des oreilles sache entendre et des yeux sache lire (il n'y a pas de "in cauda venenum", juste une boutade pour paraphraser quelques textes catholiques )