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Léon Zitrone

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Léon Zitrone
Image illustrative de l’article Léon Zitrone
Léon Zitrone en 1986, animant Intervilles.

Naissance
Pétrograd (Empire russe)
Décès (à 81 ans)
Paris 5e (Île-de-France, France)[1]
Nationalité Drapeau de la France Française
Profession Journaliste radio/télévision
Spécialité Présentateur de journal
Autres activités Animateur de télévision
Commentateur d’évènements télévisuels
Commentateur sportif
Médias actuels
Pays Drapeau de la France France
Média Télévision
Historique
Radio RTL
Télévision Première chaîne de l'ORTF
TF1
Antenne 2

Léon Zitrone, né le à Pétrograd (aujourd'hui Saint-Pétersbourg) en Russie et mort le à Paris 5e[1],[2], est un journaliste français, présentateur de journal, animateur et commentateur de télévision et de radio.

Durant de longues années, il représente un personnage particulièrement emblématique de la télévision française, en présentant le journal télévisé de 1958 à 1975 sur l'une des deux chaînes publiques nationales et en assurant le commentaire en direct de nombreux grands événements mondains, populaires ou sportifs.

Jeunesse et formation

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Né en Russie à Pétrograd aujourd'hui redevenue Saint-Pétersbourg, Léon Zitrone arrive en France à l'âge de six ans avec ses parents, Rodolphe-Romain Zitrone, (1889-1981) et Catherine Hawkins (1891-1978)[3]. Au moment où éclate la révolution russe, la famille Zitrone se trouve en Suède. Ses parents décident de ne pas retourner en Russie et viennent s'installer en France[4].

Son père qui a une formation d'ingénieur chimiste[3] devient tailleur et, à partir de 1923, ouvre à Paris dans le 16e arrondissement une boutique appelée La Clinique du Vêtement où l'on effectue des réparations, du nettoyage et des mises à la taille[5].

Après des études au lycée Janson-de-Sailly, où il est le souffre-douleur de ses camarades qui le traitent de « métèque »[6], il effectue des études supérieures à la faculté de droit de Paris et à l'Institut de chimie[7],[8]. Il est, à sa demande, naturalisé français le [9].

Pendant la Seconde Guerre mondiale il est mobilisé au 201e régiment d'artillerie lourde divisionnaire motorisé (issu du dédoublement du 1er régiment d'artillerie divisionnaire motorisé), équipé en canons de 155 court. Il sert dans la 15e division d'infanterie motorisée du général Juin au sein du 4e corps d'armée de la 1re armée, qui entre en Belgique en réaction à l'invasion allemande du . Il participe aux combats de Gembloux des 14 et , pour lesquels il sera décoré de la médaille militaire pour « acte de bravoure exceptionnel »[10],[11]. Il est touché par un obus à Charleroi, tue un soldat allemand à La Louvière et est fait prisonnier à Lot en Belgique. Il s'évade de Braine-l'Alleud en et se cache à Uccle[note 1],[12]. Pendant l'Occupation, son père est arrêté le pour « menée antinazie » et envoyé en janvier 1943 dans un camp de travail à Oranienburg (Allemagne), d'où il s'évade grâce à l'aide d'un officier autrichien, Reinhold Boehm, tombé amoureux de sa fille Irène Zitrone. La conséquence de l'évasion de son mari est que la mère de Léon Zitrone est arrêtée le et détenue à Drancy, où elle se retrouve dans la même cellule que les Dassault et dont elle est libérée le tandis que leur fille se cache[13].

En 1945 il entre au ministère des Prisonniers de guerre, Déportés et Réfugiés. Il renonce à devenir fonctionnaire afin d'aider son père dans ses Cliniques du Vêtement[14].

Carrière dans les médias

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Journaliste et présentateur de journaux

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Entre-temps, diplômé de l'École supérieure de journalisme de Paris, il entre en 1948 à la Radiodiffusion française au service des « Émissions vers l'Amérique du Nord » où, grâce à sa maîtrise du russe, du français, de l'anglais, de l'allemand et de l'italien, il est engagé par Pierre Emmanuel[14].

L'année 1954 marque sa première apparition à la télévision dans l'émission « Économie et Industrie ». Sa première collaboration au journal télévisé date du , où il commente des images prises à l'hippodrome de Longchamp[14]. Tout au long de sa carrière, il continuera de commenter régulièrement des courses hippiques, notamment le tiercé dès 1959[15] lorsqu'il succède à Georges de Caunes qui l'a présenté à partir de 1956[16].

Léon Zitrone (à gauche) aux côtés de Claude Fayard (au centre) et de Jean Gabin (à droite) en 1959.

À partir de 1958, il est présentateur du journal télévisé, fonction qu'il va exercer jusqu'en 1975 sur la Première chaîne de l'ORTF où il devient un des présentateurs les plus populaires de France. Il revient sur Antenne 2Jean-Pierre Elkabbach le rappelle en 1979 (il a alors plus de 64 ans), afin de prendre en charge les JT du week-end, dès le . Il reviendra pour ces JT également lors du week-end de Pâques, comme il le dit lui-même dans son au-revoir du , date de la fin de son contrat.

Ses qualités de diplomatie (il est l'interlocuteur principal d'Alain Peyrefitte lorsque celui-ci se présente au public comme ministre de l'Information) le font parfois accuser d'obséquiosité ; de même, son style de commentateur n'est fait, disent les critiques, que de « symphonies d'exclamations et fanfares d'adjectifs laudatifs, pompeux commentaires[17] ». Claude Darget lancera : « Léon Zitrone parle couramment trois langues : le français, le russe et le serve »[note 2]. Jean-Edern Hallier, dans sa volonté provocatrice, alla jusqu'à dire : « Zitrone, ce vieux larbin[18] ». À sa mort, le député RPR Michel Péricard[note 3] dit de lui : « Un journaliste comme Léon Zitrone, on ne pourrait plus en trouver aujourd'hui. Il était très institutionnel et respectueux des pouvoirs établis[17]. »

Animateur de télévision et commentateur

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La popularité de Léon Zitrone est aussi due aux émissions qu'il anime ou co-anime. Entre 1962 et 1990, il co-anime en compagnie de Guy Lux le jeu télévisé Intervilles, puis Interneige entre 1964 et 1968, suivi des Jeux sans frontières en 1965 et 1966, dont il commente certaines émissions jusqu'en 1971.

Il a commenté à six reprises le Tour de France cycliste, où les téléspectateurs ont retenu sa bonne mémoire des noms des coureurs. Il assure aussi la présentation des Jeux olympiques à huit reprises et présente seize défilés militaires du 14 juillet[19].

Le 12 mai 1968, à la suite d'une censure directe, les journalistes et producteurs de Cinq colonnes à la Une entament une grève à laquelle participent ensuite toutes les catégories de personnel de l'ORTF[20]. Le 5 août 1968, le gouvernement licencie ou mute une soixantaine de journalistes, des producteurs et des techniciens; Léon Zitrone est licencié au même titre que ses confrères Claude Darget, Frédéric Pottecher, Emmanuel de La Taille, Robert Chapatte, François de Closets, Thierry Roland, Roger Couderc, Michel Drucker, Maurice Séveno, Christian Dutoit, Jean-Claude Dassier, Jacques Alexandre, Philippe Harrouard, Michel Honorin et Daniel Estève[21]. Bien que d'autres de ses collègues journalistes s'orientent vers les stations de radio périphériques comme RTL, Europe 1 et Radio Monte-Carlo ou encore les chaînes commerciales Télé Monte Carlo ou Télé Luxembourg, Léon Zitrone parvient à revenir à la télévision publique ORTF, notamment en acceptant d'être rétrogradé aux sports, cantonné aux courses cyclistes et de chevaux[22].

En 1969 il devient le premier représentant de la France au jeu-divertissement Le Francophonissime réunissant les chaînes de télévisions de langue française Première chaîne de l'ORTF (France), Télévision de Radio-Canada - SRC (Québec), RTBF1 (Belgique), Télé Luxembourg, Télé Monte-Carlo (Pincipauté de Monaco) et TSR 1 (Suisse Romande).

Il est aussi connu pour être le commentateur-clé des grands évènements, notamment les mariages, funérailles et investitures des grands de ce monde, une trentaine dans sa carrière[17], hormis le couronnement de la reine Élisabeth II du Royaume-Uni en 1953 (erreur fréquemment commise, ce commentaire ayant été assuré par Jacques Sallebert).[réf. souhaitée] Il commente notamment le mariage de Fabiola avec le roi Baudouin de Belgique[17] et celui d'Anne du Royaume-Uni[17], l'enterrement de Winston Churchill[17] ou d'Anouar el-Sadate[17], ainsi que la cérémonie d'hommage national au général de Gaulle à la cathédrale Notre-Dame de Paris[23] et converse même en russe avec Brejnev[17] et Khrouchtchev[17].

Passionné de chevaux, il imprime sa marque lors de ses commentaires de courses hippiques, comme le prix d'Amérique[17], une passion qu'il garde toute sa vie, à tel point que, selon, Thierry Roland, « il avait une peur panique qu'on lui retire les courses[17] ».

Pour le concours Eurovision de la chanson, il assure la présentation en anglais ainsi que les commentaires de l'édition 1978 qui a lieu en direct depuis le Palais des congrès de Paris, aux côtés de Denise Fabre[11]. Il commente à nouveau celui-ci lors des éditions de 1983, 1984 et 1991.

À la radio

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En 1975, sur RTL, Léon Zitrone présente L'heure Z, un rendez-vous quotidien d'information de h à h[24]. En 1976 il anime Appelez, on est là, aux côtés d'Évelyne Pagès[25]. Très cultivé, il sait aussi faire preuve d'un humour ravageur, talent qu'il montrera en étant l'un des invités de référence des Grosses Têtes de RTL.

Dans le monde des médias Léon Zitrone restera par ailleurs longtemps réputé pour sa pingrerie[17],[note 4] et son mauvais caractère.

Autres activités

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En 1960 Léon Zitrone tient comme acteur le rôle principal aux côtés de Jean Rochefort et Jean Gaven dans le film Vingt mille lieues sur la terre, le tournage lui donnant l'occasion de retourner dans sa Russie natale.

Par ailleurs, il participe à une vingtaine de long métrages et plusieurs séries télévisées dans des petits rôles, souvent de journalistes ou de commentateurs.

Vie privée et décès

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Tombe de Léon et Jacqueline (Laura) Zitrone au cimetière de Levallois-Perret.

Léon Zitrone se marie le [14] à Jacqueline Connan (1922-1999)[26], surnommée Laura, avec qui il a eu trois enfants : Marie-Laurence (née en 1950), Béatrice (née en 1951) et Philippe (né en 1954).

Il meurt à l'âge de 81 ans (le jour de son anniversaire) le à l'hôpital du Val-de-Grâce de Paris, où il est hospitalisé quelques jours des suites d'une hémorragie cérébrale[27]. Il repose au cimetière de Levallois-Perret.

Personnalité et notoriété

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Léon Zitrone parlait un français cultivé, simple et littéraire[17], tel qu'il serait écrit. « Gros travailleur »[17], il était capable de prolonger ses commentaires plusieurs heures durant si la situation l’exigeait, sans monotonie ni répétition, aidé de ses fidèles fiches[17].

Il est aussi connu pour certaines citations :

« Qu'on parle de moi en bien ou en mal, peu importe. L'essentiel, c'est qu'on parle de moi[28] ! »

« La popularité, c'est d'éternuer à l'écran et de recevoir le lendemain des centaines de cartes postales avec écrit : à vos souhaits[29]. »

« Figure de marbre, voix de bronze », comme le définit un jour son camarade de télévision Pierre Tchernia[17], Léon Zitrone a été l'une des incarnations de la télévision pendant plusieurs décennies aux yeux du grand public français[17]. Le général de Gaulle a d'ailleurs dit à ce sujet : « Léon Zitrone est peut-être plus connu que moi[17] ».

Filmographie

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Télévision

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Intervenant

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Séries télévisées

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Publications

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Distinctions

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Récompense

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Décorations

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Dans la culture populaire

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Bande dessinée

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Notes et références

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  1. Déclaration de Léon Zitrone aux Grosses Têtes de février 1985.
  2. Dans sa biographie Big Léon.
  3. Michel Péricard exerça à plusieurs reprises dans les directions des chaînes de télévision publiques pendant les années 1970. Source : article de Libération du .
  4. Parfois justifiée : dans sa biographie Big Léon, il s'indigne qu'on ne lui ait pas remboursé le plafond ordinaire d'un repas du soir au prétexte que celui-ci comprenait des mets fins.

Références

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  1. a et b « Léon Zitrone, l'homme qui fit battre le cœur de la télé », Le Figaro.fr, 17 octobre 2012.
  2. Insee, « Acte de décès de Léon Zitrone », sur MatchID
  3. a et b Who’s Who in France : dictionnaire biographique, éd. Jacques Lafitte, .
  4. « Almanach de la Télévision », Télé 7 Jours, année 1963 : « Le père de Léon, Romain Zitrone, était ingénieur des mines et, de ce fait, la famille voyageait beaucoup. En 1917, lors des journées historiques de la révolution d'Octobre, les Zitrone se trouvaient en Suède. Plutôt que de retourner en Russie, ils décidèrent de venir en France. »
  5. Télé 7 Jours, no 71, semaine du 29 juillet au  : « Le père de Léon est propriétaire de La Clinique du Vêtement (réparations, mises à la mesure) à Auteuil » et Télé 7 Jours, no 104, semaine du 17 au  : « Son père lui donne des conseils sur l'art de s'habiller : il est tailleur à Passy. »
  6. « Almanach de la Télévision », Télé 7 Jours, année 1963 : « À 9 ans, il était le souffre-douleur de ses camarades du lycée Janson-de-Sailly. Ceux-ci le traitaient de “métèque” parce que le , il était né à Saint-Pétersbourg. »
  7. Doan Bui et Isabelle Monnin, Ils sont devenus français. Dans le secret des archives, éd. Jean-Claude Lattès, , p. 162 : « Comme le souligne l'Institut de chimie, il est bon élève, travailleur et sérieux. »
  8. « À l'ICP, je réussis cependant à ne pas me faire éliminer aux examens de la première année (…) plusieurs de mes camarades avaient capitulé (dont Léon Zitrone, qui connut plus tard une carrière prestigieuse…). » Tiré de Jean Jacques, Un chimiste au passé simple, éd. Odile Jacob, (ISBN 2738108431), « Figurant au théâtre des opérations ».
  9. Doan Bui et Isabelle Monnin, Ils sont devenus français. Dans le secret des archives, éd. Jean-Claude Lattès, 2010, p. 162.
  10. a et b Dominique Lormier, Les victoires françaises de la Seconde Guerre mondiale, p. 61.
  11. a et b « En savoir plus - Léon Zitrone », sur radiofrance.fr (consulté le )
  12. « Les ultimes obsèques de big Léon Zitrone : fin d'une vie de télévision entre gotha, sports, jeux et actualité », sur Le Soir.be, .
  13. Doan Bui et Isabelle Monnin, Ils sont devenus français. Dans le secret des archives, éd. Jean-Claude Lattès, 2010.
  14. a b c et d « Almanach de la Télévision », Télé 7 Jours, 1963.
  15. « Hippisme, tiercé à Vincennes », séquence du journal télévisé, , RTF, Inamediapro, no notice CAF95011369
  16. « Le tiercé, 60 ans de saga », sur leparisien.fr, (consulté le )
  17. a b c d e f g h i j k l m n o p q et r Odile Benyahia-Kouider, « Un Z qui voulait dire Zitrone. Le plus royal des commentateurs télé est mort samedi, jour de ses 81 ans », Libération,‎ (lire en ligne).
  18. « Zapping : phrases cultes de la télévision 19/03/2010 », sur www.ina.fr (consulté le )
  19. Claude Quétel, Le Mythe du 14 juillet, Paris, Jean-Claude Lattès, 2013, 430 p., (ISBN 9782709644983), p. 9.
  20. « Faire trembler les murs du silence : La grève à l'ORTF », sur maisondelaradio.fr, .
  21. « Le départ de journalistes de valeur risque de compromettre la qualité des émissions », sur lemonde.fr, .
  22. « Premiers licenciements de journalistes à l'ORTF », sur lemonde.fr, .
  23. Évelyne Cohen et André Rauch, « Le corps souverain sous la Cinquième République : Les funérailles télévisées du général de Gaulle et de François Mitterrand », Vingtième Siècle : Revue d'histoire, no 88,‎ , p. 77-93 (lire en ligne).
  24. Télé 7 Jours no 806, semaine du 25 au 31 octobre 1975, p. 121
  25. Julien Lalande, « RTL : Evelyne Pagès est décédée », sur PureMédias,
  26. Stephen Taylor, Who’s who in France, Levallois-Perret, Jacques Lafitte, 1994, 1799 p., (ISBN 978-2-85784-031-2)
  27. « Ces célébrités mortes le jour de leur anniversaire », sur Le Dauphiné libéré,
  28. La citation sur le site L'Internaute.com (consulté le 16 août 2015).
  29. La citation sur le site L'Internaute.com (consulté le 16 août 2015).
  30. René Goscinny (scénario), Dino Attanasio (dessins), « Au rendez-vous des cyclistes », série Signor Spaghetti, 1963, planche 28.
  31. Christian Godard (scénario), Julio Ribera (dessins), « La Martingale céleste », série Le Vagabond des Limbes, 1989.

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Articles connexes

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Liens externes

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