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Saint-Quentin-de-Baron

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Saint-Quentin-de-Baron
Saint-Quentin-de-Baron
La mairie.
Blason de Saint-Quentin-de-Baron
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Gironde
Arrondissement Libourne
Intercommunalité Communauté d'agglomération du Libournais
Maire
Mandat
Stéphanie Dupuy
2020-2026
Code postal 33750
Code commune 33466
Démographie
Gentilé Saint-Quentinais ou
Saint-Quentinois
Population
municipale
2 675 hab. (2021 en évolution de +14,32 % par rapport à 2015)
Densité 308 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 49′ 06″ nord, 0° 17′ 09″ ouest
Altitude Min. 10 m
Max. 80 m
Superficie 8,69 km2
Type Bourg rural
Unité urbaine Bordeaux
(banlieue)
Aire d'attraction Bordeaux
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton des Coteaux de Dordogne
Législatives Dixième circonscription
Localisation
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Saint-Quentin-de-Baron
Liens
Site web saint-quentin-de-baron.fr

Saint-Quentin-de-Baron est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Gironde en région Nouvelle-Aquitaine.

Géographie

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Localisation

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Commune située dans l'aire d'attraction de Bordeaux et dans unité urbaine, sur la route nationale 136 entre Bordeaux et Castillon-la-Bataille.

Communes limitrophes

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Les communes limitrophes sont Nérigean au nord, Tizac-de-Curton au nord-est, Espiet au sud-est, Camiac-et-Saint-Denis au sud et Baron à l'ouest.

Communes limitrophes de Saint-Quentin-de-Baron[1]
Nérigean Tizac-de-Curton
Baron Saint-Quentin-de-Baron[1]
Camiac-et-Saint-Denis Espiet

Historiquement, la commune est exposée à un climat océanique aquitain[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Aquitaine, Gascogne, caractérisée par une pluviométrie abondante au printemps, modérée en automne, un faible ensoleillement au printemps, un été chaud (19,5 °C), des vents faibles, des brouillards fréquents en automne et en hiver et des orages fréquents en été (15 à 20 jours)[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,9 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,6 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 862 mm, avec 11,9 jours de précipitations en janvier et 6,7 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Saint-Émilion à 13 km à vol d'oiseau[5], est de 13,9 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 798,1 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Au , Saint-Quentin-de-Baron est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[9]. Elle appartient à l'unité urbaine de Bordeaux[Note 1], une agglomération intra-départementale regroupant 73 communes, dont elle est une commune de la banlieue[Note 2],[10],[11]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Bordeaux, dont elle est une commune de la couronne[Note 3],[11]. Cette aire, qui regroupe 275 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[12],[13].

Occupation des sols

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Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (81,1 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (86,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : cultures permanentes (59,9 %), zones agricoles hétérogènes (11,9 %), forêts (11,1 %), zones urbanisées (7,8 %), prairies (5,7 %), terres arables (3,5 %)[14]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Voies de communication et transports

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La commune est desservie par le réseau de cars départemental TransGironde et par les bus Calibus de la Cali. La ville est également relié aux autres communes par un réseau de routes départementales et communales, qui est régulièrement entretenu par la municipalité.

Risques majeurs

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Le territoire de la commune de Saint-Quentin-de-Baron est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), mouvements de terrains et séisme (sismicité faible)[15]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[16].

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des affaissements et effondrements liés aux cavités souterraines (hors mines)[17]. Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, un inventaire national permet de localiser les éventuelles cavités souterraines sur la commune[18].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Saint-Quentin-de-Baron.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (67,4 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 742 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 742 sont en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 84 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[19],[Carte 2].

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1999 et 2009, par la sécheresse en 2005 et 2012 et par des mouvements de terrain en 1999[15].

Le nom de la commune provient du nom du saint patron de la paroisse, saint Quentin (en latin sanctus Quintinus)[20], apôtre romain du IIIe siècle qui évangélisa la Gaule.
La terminaison -de-Baron tient à la proximité de la paroisse de Baron dont l'origine du toponyme serait un patronyme germanique Baro qui signifie « homme »[21].

En gascon, le nom de la commune est Sent Quentin de Baron.

À la Révolution, la paroisse Saint-Quentin-de-Baron forme la commune de Saint-Quentin-de-Baron[22].

À la fin des années 1970 et au début des années 1980, la commune développe une intense activité socio-culturelle au travers du Centre rural d'animation culturelle de l'Entre-deux-Mers qui donne le jour au Jeune Orchestre symphonique de l'Entre-deux-Mers en 1988 et voit Jack Lang assister à la Fête de la musique organisée en 1986. La place du est baptisée en souvenir de l'événement[23],[24],[25].

Politique et administration

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Administration municipale

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Le nombre d'habitants au dernier recensement étant compris entre 1 500 et 2 499, le nombre de membres du conseil municipal est de 19[26].

Liste des maires

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1977 2014 Christian Mur PS Conseiller général du canton de Branne (1998-2015)
mars 2014 septembre 2014 Jean-Christophe Bricard DVG  
septembre 2014 2020 Jack Allais[27] UMP puis
LR
Retraité de la fonction publique.
2020 En cours Stéphanie Dupuy    

Au , Saint-Quentin-de-Baron est jumelée avec[28],[29],[30] :

Démographie

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Les habitants sont appelés les Saint-Quentinais ou Saint-Quentinois[31].

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[32]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[33]. En 2021, la commune comptait 2 675 habitants[Note 4], en évolution de +14,32 % par rapport à 2015 (Gironde : +6,88 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
725674699644637618619620622
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
619658669693666679645601644
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
666755703617600630574661710
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
7327307238539479581 2501 3001 934
2015 2020 2021 - - - - - -
2 3402 6202 675------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[34] puis Insee à partir de 2006[35].)
Histogramme de l'évolution démographique

Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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Personnalités liées à la commune

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  • En 1476, Jean de Pins achète et rénove le château de Bisqueytan, endommagé par la guerre de Cent Ans[39].
  • Le , Montesquieu rachète le château, en copropriété avec Jean-Joseph de Cursol[40],[37].
  • En 2016, le milliardaire chinois Jack Ma achète le château de Sours, un vignoble à Saint-Quentin-de-Baron[41].
  • Le cycliste Éric Vermeulen est né dans la commune en 1954.

Héraldique

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Blason de Saint-Quentin-de-Baron Blason
Écartelé: au 1er d'azur à la fontaine monumentale du lieu d'or, aux 2e et 3e d'or à trois pals de gueules, au 4e d'azur à la pomme de pin d'or[42].
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie

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  • Léo Drouyn, Histoire et description des villes fortifiées, forteresses et châteaux construits dans le pays qui constitue actuellement le département de la Gironde pendant la domination anglaise, t. 1, Jeanne Laffitte, , 305 p. (ISBN 2-86276-351-9, lire en ligne), p. 120.

Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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Notes et cartes

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  • Notes
  1. Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
  2. Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l’agglomération ou de la commune la plus peuplée. Dans le cas de l'unité urbaine de Bordeaux, il y a une ville-centre et 72 communes de banlieue.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références

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  1. Saint-Quentin-de-Baron sur Géoportail, consulté le 4 mai 2015.
  2. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  4. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  5. « Orthodromie entre Saint-Quentin-de-Baron et Saint-Émilion », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Saint-Émilion » (commune de Saint-Émilion) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Saint-Émilion » (commune de Saint-Émilion) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  9. « La grille communale de densité », sur insee,fr, (consulté le ).
  10. « Unité urbaine 2020 de Bordeaux », sur insee.fr (consulté le ).
  11. a et b Insee, « Métadonnées de la commune de Saint-Quentin-de-Baron ».
  12. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Bordeaux », sur insee.fr (consulté le ).
  13. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  14. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  15. a et b « Les risques près de chez moi - commune de Saint-Quentin-de-Baron », sur Géorisques (consulté le ).
  16. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  17. « Dossier départemental des risques majeurs de la Gironde », sur gironde.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
  18. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Saint-Quentin-de-Baron », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
  19. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  20. Saint-Quentin-de-Baron sur le site « Visites en Aquitaine - Région Aquitaine » (CC-BY-SA), consulté le 4 mai 2015.
  21. Baron sur le site « Visites en Aquitaine - Région Aquitaine » (CC-BY-SA), consulté le 4 mai 2015.
  22. Historique des communes, p. 58, sur GAEL (Gironde Archives en ligne) des Archives départementales de la Gironde, consulté le 4 mai 2015.
  23. Yves Raibaud, « Entre-deux-Mers 1980-2000 : une histoire de développement local », Pour, no 201,‎ , p. 163-169 (lire en ligne).
  24. Jean-Claude Gillet (dir.), Les associations, des espaces entre utopies et pragmatismes : Colloque, 5 et 6 février 2001, Université de Bordeaux 3, Pessac, Presses Universitaires de Bordeaux, coll. « Le territoire et ses acteurs », (ISBN 2-86781-278-X, BNF 37716326, lire en ligne), p. 91.
  25. « Saint-Quentin-de-Baron. Dénomination des rues du village. Place du 21 juin », sur saint-quentin-de-baron.fr.
  26. art L. 2121-2 du code général des collectivités territoriales.
  27. Saint-Quentin-de-Baron (33) : un troisième maire en six mois, Sud Ouest.fr du 15 septembre 2014.
  28. « Atlas français de la coopération décentralisée et des autres actions extérieures », sur le site du ministère des Affaires étrangères (consulté le ).
  29. Acteurs locaux, les associations sur le site de la mairie, consulté le 4 mai 2015.
  30. Annuaire des villes jumelées
  31. Nom des habitants des communes françaises sur le site habitants.fr, consulté le 9 octobre 2013.
  32. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  33. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  34. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  35. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  36. « Notice MH de l'église Saint-Quentin », notice no PA00083800, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  37. a et b « Notice MH du château de Bisqueytan », notice no PA33000010, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  38. Jean-Luc Piat et Frédéric Boutoulle, « La tour et le château de Bisqueytan en Bordelais : une forteresse ducale révélée par l’archéologie et par les textes (XIe – XIVe siècle) », Archéologie du Midi Médiéval, vol. 4, no 1,‎ , p. 195–214 (DOI 10.3406/amime.2006.1586, lire en ligne, consulté le ).
  39. Léo Drouyn, La Guyenne militaire : Histoire et description des villes fortifiées, forteresses et châteaux construits dans le pays qui constitue actuellement le département de la Gironde pendant la domination anglaise, t. 1, Jeanne Laffitte, , 305 p. (ISBN 2-86276-351-9, lire en ligne), p. 120.
  40. « Le château de Bisqueytan », sur Savoirs et Images en Graves Montesquieu (consulté le ).
  41. Pierre Haski Jack Ma, le géant du Web chinois, désormais châtelain à Bordeaux L'Obs, 25 février 2016.
  42. Saint-Quentin-de-Baron sur armorialdefrance.fr