Arry (Somme)
Arry | |||||
Le château d'Arry. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Hauts-de-France | ||||
Département | Somme | ||||
Arrondissement | Abbeville | ||||
Intercommunalité | CC Ponthieu-Marquenterre | ||||
Maire Mandat |
Thibault Bourgois 2020-2026 |
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Code postal | 80120 | ||||
Code commune | 80030 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Arryens | ||||
Population municipale |
223 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 30 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 50° 16′ 44″ nord, 1° 43′ 17″ est | ||||
Altitude | Min. 2 m Max. 39 m |
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Superficie | 7,34 km2 | ||||
Type | Commune rurale à habitat dispersé | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Hors attraction des villes | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton de Rue | ||||
Législatives | 3e circonscription de la Somme | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Somme
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
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Liens | |||||
Site web | arry-picardie.com | ||||
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Arry est une commune française située dans le département de la Somme en région Hauts-de-France.
La commune fait partie du parc naturel régional Baie de Somme - Picardie maritime et des villages labellisés Pays d'art et d'histoire qui œuvrent à mettre en avant leur patrimoine[1],[2].
Géographie
[modifier | modifier le code]Localisation
[modifier | modifier le code]Ce village rural picard du Ponthieu, traversé par la Maye, est situé, à vol d'oiseau, à 3,8 km à l'est de Rue[3], à 8,4 km au nord-ouest de Nouvion[4], à 20,8 km au nord-ouest d'Abbeville[5] et à 59,2 km au nord-ouest d'Amiens[6].
Le territoire de la commune est limitrophe de ceux de six communes:
Hydrographie
[modifier | modifier le code]Réseau hydrographique
[modifier | modifier le code]La commune est située dans le bassin Artois-Picardie. Elle est drainée par la Maye[Carte 1].
La Maye, d'une longueur de 38 km, prend sa source dans la commune de Fontaine-sur-Maye,à l'altitude de 40 mètres, et se jette dans la baie de Somme en limite des communes de Saint-Quentin-en-Tourmont et du Crotoy, après avoir traversé dix communes[7]. Les caractéristiques hydrologiques de la Maye sont données par la station hydrologique située sur la commune. Le débit moyen mensuel est de 1,01 m3/s[Note 1]. Le débit moyen journalier maximum est de 5,17 m3/s, atteint lors de la crue du . Le débit instantané maximal est quant à lui de 7,3 m3/s, atteint le [8].
Gestion et qualité des eaux
[modifier | modifier le code]Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Somme aval et Cours d'eau côtiers ». Ce document de planification concerne un territoire de 1 835 km2 de superficie, délimité par le bassin versant de la Somme canalisée. Le périmètre a été arrêté le et le SAGE proprement dit a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est le syndicat mixte d'aménagement hydraulique du bassin versant de la Somme (AMEVA)[9].
La qualité des cours d'eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l'eau et l'Agence française pour la biodiversité[Carte 2].
Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique franc, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[10]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Côtes de la Manche orientale, caractérisée par un faible ensoleillement (1 550 h/an) ; forte humidité de l'air (plus de 20 h/jour avec humidité relative > 80 % en hiver), vents forts fréquents[11].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 12,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 777 mm, avec 12,4 jours de précipitations en janvier et 8,3 jours en juillet[10]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Cayeux-sur-Mer à 19 km à vol d'oiseau[12], est de 11,4 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 761,1 mm[13],[14]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[15].
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Arry est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[16]. Elle est située hors unité urbaine[17] et hors attraction des villes[18],[19].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d'occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (86,5 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (86,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (84,6 %), zones urbanisées (5,9 %), forêts (3,8 %), zones humides intérieures (2,8 %), prairies (1,9 %), eaux continentales[Note 3] (0,9 %)[20]. L'évolution de l'occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].
Voies de communication et transports
[modifier | modifier le code]En 2019, la localité est desservie par les lignes de bus du réseau Trans'80, chaque jour de la semaine, sauf le dimanche[21]. Il est desservi par l'ancienne route nationale 338 (actuelle RD 938) et aisément accessible par l'autoroute A16.
Toponymie
[modifier | modifier le code]En 1042, le village était dénommé Adriacus[22] ; Arri en 1123 ; Arry en 1301 ; Ary en 1312[23].
Cette forme nous renseigne sur l'origine de ce toponyme qui dérive de l'anthroponyme latin Hadriacus qui deviendra Adrien en français. D'autres étymologistes expliquent l'origine de son nom par « domaine d'Arrius »[24], le nom du premier occupant[25]. L'étymologie de ce toponyme provient de l'agglutination du nom de personne gallo romain arrius et du suffixe acum qui signifie la « terre d'arrius »[24].
Histoire
[modifier | modifier le code]Différents fiefs nobles ont constitué la seigneurie d'Arry. L'un d'entre eux, le « Quint d'Arry », relevait du roi[22].
La famille d'Arry fit passer sa propriété aux Biencourt au XVe siècle. Elle fut ensuite transmise aux Gourlay, aux Fuzelier et à la famille d'Halluin qui en fut propriétaire jusqu'en 1725[22].
Jacquelin, Antoine, François de Courteville, descendant de la dernière famille possédante, devint alors comte d'Hodicq quand le roi érigea Arry en comté[22].
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Population et société
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]Évolution démographique
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[29]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[30].
En 2021, la commune comptait 223 habitants[Note 4], en évolution de +8,78 % par rapport à 2015 (Somme : −0,98 %, France hors Mayotte : +1,84 %). Le maximum de la population a été atteint en 1851 avec 318 habitants.
Pyramide des âges
[modifier | modifier le code]La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 44,2 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (36,4 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 17,2 % la même année, alors qu'il est de 26,0 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 113 hommes pour 102 femmes, soit un taux de 52,56 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,51 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Enseignement
[modifier | modifier le code]En 2013, l'école locale est associée depuis plusieurs années à celles de Bernay, Vercourt et Regnière-Écluse au sein d'un regroupement pédagogique intercommunal (RPI). La compétence scolaire est ensuite du ressort de la communauté de communes.
En septembre 2019, l'école est fermée. Les élèves relèvent alors du regroupement pédagogique concentré à Vron[35],[36].
La suite des études conduit les élèves au collège du Marquenterre à Rue ou/et au lycée Boucher-de-Perthes à Abbeville.
Les étudiants relèvent de l'université de Picardie Jules-Verne.
Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]- Église Saint-Quentin, en brique et pierre (XIXe siècle).
- Château[37], de 1761, construit par l'architecte Giraud Sannier, et son parc[38], classé aux Monuments Historiques le , avec le parc et le potager attenants. Constituée avec le canal de la Maye, la perspective dite « le miroir », en alignement avec le château, a été classée à cette même date.
- Le château blanc, sur l'ex-RN 1.
- Collection de miniatures réalisées à l'échelle 1/32e, témoignages de l'activité agricole, passée et actuelle. Résultat de plus de deux décennies de travail d'un passionné privé.
- Monument aux morts[39],[40], avec un bas-relief de Louis Leclabart, le guetteur dans sa tranchée[41].
- Chapelle sépulcrale des vicomtes et vicomtesses De France, édifiée en 1761 par le comte d'Hodicq, face à l'église.
- Oratoire avec une porte en forme de fougère, en allant vers le Thurel, après l'église.
- Chapelle rue de Vercourt, toute en brique peinte à la chaux.
- Vallée de la Maye et plans d'eau.
-
Église Saint-Quentin.
-
Le château blanc.
-
Monument aux morts.
-
Détail du « guetteur ».
-
Chapelle des anciens châtelains.
-
Tombe de soldat allié.
-
Chapelle rue de Vercourt.
-
Oratoire vers le Thurel.
Patrimoine naturel
[modifier | modifier le code]La double rangée de tilleuls dénommée « Allée d'Arry » est classée monument naturel le [42].
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]Jacques, Alexandre, François de Courteville d'Hodicq (1726-1802), maréchal de France. Il participe à la Révolution Française comme député de la noblesse du bailliage de Montreuil aux États généraux de 1789. Propriétaire du château, il décède à Arry.
Pour approfondir
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]Articles connexes
[modifier | modifier le code]Liens externes
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- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Arry sur le site de l'Institut géographique national
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes
[modifier | modifier le code]- Les moyennes interannuelles (écoulements mensuels) ont été calculées le 28/07/2024 à 02:04 TU à partir des 352 QmM (débits moyens mensuels) les plus valides du 01/07/1993 au 01/06/2024.
- Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
- Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
Cartes
[modifier | modifier le code]- « Réseau hydrographique d'Arry » sur Géoportail (consulté le 25 septembre 2024).
- « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le )
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]- « Création du Pays d'Art et d'Histoire Ponthieu-Baie de Somme » (consulté le ).
- Jade Desmaret, « 48 communes du Ponthieu et de la baie de Somme labellisées «Pays d'art et d'histoire» », Courrier picard, (lire en ligne)
- « Orthodromie entre Arry et Rue », sur fr.distance.to (consulté le )
- « Orthodromie entre Arry et Nouvion », sur fr.distance.to (consulté le )
- « Orthodromie entre Arry et Abbeville », sur fr.distance.to (consulté le )
- « Orthodromie entre Arry et Amiens », sur fr.distance.to (consulté le )
- Sandre, « la Maye »
- « Station hydrométrique La Maye à Arry », sur l'Hydroportail, Ministère de la transition écologique et de la cohésion des territoires, (consulté le )
- « SAGE Somme aval et Cours d'eau côtiers », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le )
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Arry et Cayeux-sur-Mer », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Cayeux-sur-mer » (commune de Cayeux-sur-Mer) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Cayeux-sur-mer » (commune de Cayeux-sur-Mer) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune ».
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l'aire d'attraction d'une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- « Trans80, Abbeville »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur trans80.hautsdefrance.fr.
- Panneau informatif, devant la porte de l'église.
- Jacques Garnier, Dictionnaire topographique du département de la Somme, Amiens, impr. Lemer aîné, 1867-1878 (lire en ligne), p. 45.
- Ernest Nègre - Toponymie générale de la France - Page 537 - (ISBN 2600028838).
- André Guerville, Chapelles et oratoires en Pays de Somme, Abbeville, F. Paillart, coll. « Richesses en Somme », 4e trimestre 2003, 302 p., p. 29.
- Johann Rauch, « Dernière ligne droite pour le maire, Emile Trouart : Émile Trouart annonce son départ du siège de maire d'Arry pour le mois de mars... », Le Journal d'Abbeville, (lire en ligne, consulté le ) « ce dernier élu à la tête de la commune en 2001 s'était finalement présenté pour un troisième mandat en mars 2014 « pour mettre tout le monde d'accord, et surtout éviter les divisions au sein du conseil et du village »explique-t-il, « mais cette fois, je pense vraiment arrêter à la fin mars, et passer la main, tout en restant au conseil. À 76 ans, il y a un temps pour tout » confiait encore l'élu dans son sourire habituel ».
- Le Courrier picard, 29 mars 2016, édition Picardie maritime, p. 12.
- « Thibault Bourgois conserve son siège de maire d'Arry », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ) « Thibault Bourgois avait succédé à Émile Trouart en cours de mandat, ce dernier ayant démissionné pour des raisons de santé. Thibault Bourgois a logiquement sollicité un nouveau mandat de maire. Il a été élu lundi 25 mai à l'unanimité, tout comme ses deux adjoints ».
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune d'Arry (80030) », (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département de la Somme (80) », (consulté le ).
- Auguste Canier, « Quel avenir pour les classes vides ? : Dans le cadre de la sectorisation scolaire et du regroupement des écoles à Vron et à Gueschart, plusieurs établissements ne rouvriront pas à la rentrée », Courrier picard, édition Picardie maritime, , p. 8.
- « Félicitations et crispations autour de l'école », Courrier picard, édition Picardie maritime, , p. 12.
- « Château à Arry », notice no PA00116081, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Jardin d'agrément du château d'Arry », notice no IA80000371, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- (en) « Somme-photos.com », sur somme-photos.com (consulté le ).
- « Monument aux Morts de la Guerre de 1914, 1918, de la Guerre de 1939, 1945 et de la Guerre de 1954 », notice no IA80000013, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Relief : poilu dans sa tranchée, dit le guetteur à Arry », notice no IM80000009, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « Arrêté du JO visé le 16-12-1930 p. 13706-13709 »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?) (consulté le ).